2x04 Soeurs Rivales 2/2

STARGATE ATLANTIS
ODYSSEE

Soeurs Rivales (2/2)


DANS LES EPISODES PRECEDENT:

Weir les invita à monter les marches vers son bureau. Les filles allèrent poser leurs pieds sur
la première marche lorsque les six Marines les mirent en joue.
«Mais...?!» sursautèrent de surprise Ella, Juliette et Sarah
«Ah oui, j'allais oublié ce détail, fit Elizabeth en se tournant vers elle, à partir de maintenant vous
êtes nos prisonnières.»
«Pardon?!» interrogea Juliette

***

«Docteur Weir, comment allez-vous?» demanda courtoisement Harmon
«Désolé Colonnel, mais je ne suis pas là pour échanger des gentillesses avec vous.»
«Je ne comprend pas.» balbutia-t-il
«Je suis ici pour vous demandez de nous céder Ithaque!»
«De quoi?!» interrogea Harmon, surprit.
«Au nom du peuple Atlante, je vous demande de nous céder le contrôle complet d'Ithaque. De
plus, j'aimerais que vous et votre équipe vous vous rendiez sans la moindre résistance. Nous
avons déjà fait prisonnières les Docteurs Fletcher, Harding et Sullivan.»

***

Le Docteur Elizabeth Weir sortit du vortex et foula le sol d'Ithaque alors qu'un orage se déchainait
au-dessus de la cité. Un marines vint à sa rencontre.
«Nous avons sécurisé toute la zone autour de la Porte ainsi que le secteur principal de la cité.
Nous avons parqués le personnel scientifique dans le secteur résidentiel. Quant aux militaires
nous les avons faits prisonniés dans les cellules du bloc A.»
«Tout le personnel à donc était neutralisé?» demanda Elizabeth.
«Pas complètement.» répondit John Sheppard en arrivant, une vilaine égratignure au front
«John?!»
«Le Colonnel Harmon Rabb et Sacre Tillus m'ont échappés. Je rassemble mes hommes et je
reparts à leur poursuite.»
«Bien.» fit Elizabeth tandis que John s'éloignait puis elle tourna son regard sur la cité.
«Ithaque, tu es enfin à nous.» souria-t-elle


ET MAINTENANT LA SUITE...


Le ciel d'Ithaque était assailli par de puissants éclairs pourfandant les plus noirs des nuages obscurisant le soleil et étouffants ses maigres rayons qui osaient effleurer la surface de la capitale des Anciens. A croire que le ciel était de la même humeur que le colonel John Sheppard. Son ombre et la lueur des éclairs jouaient sur les parois du couloir dans lequel il s'était engagé.
«Bordel, je vais finir par penser qu'il ne fait jamais beau sur cette planète.» maugréa Sheppard.
«Oui, rien a envier à Atlantis...» avança le Sergent Edouard qui était juste derrière lui
«Je les ais sur mon détecteur.» fit le Lieutenant Samuel en montrant à Sheppard son détecteur biométrique: il indiquait les cinqs membres de l'unité de John ainsi que deux autres points progréssant dans un couloir, non loin de leur position.
«Très bien.» murmura John tandis qu'ils avançaient à pas de loup vers le carrefour qui donnait sur le couloir..
«Ok, je vous rappelle que nous ne sommes pas là pour nous entretuer.On se contente juste de les mettreKO.» expliqua-t-il à ses hommes.
«Vous avez entendus les gars, fit le Sergent Edouard, préparez vos P90. Ne visez que les jambes pour les immobiliser.» tout les hommes s'exécutèrent, armant leur fusils.
«Attention, nous approchons.» murmura Sheppard.
«Mon Colonnel, ils ne bougent plus.» intervint Samuel. John regarda l'écran du détecteur de son Sergent. Il vit les deux points se faufiler dans un des replis du couloir.
«Ils veulent nous tendre une embuscade. Edouard, Samuel et Russel en tir de couverture, Hank et moi nous nous occupons d'eux.»
Les cinqs individus ne virent rien venir, l'effet de surprise fut radical. Le Colonnel Harmon Rabb se jetta en dehors du replis, tirant plusieurs coups de son pistolet, paralysant Hank et Russel qui tombèrent par terre tandis que leurs doigts crispés essaient d'appuyer sur la détente de leurs armes avant de se raidir. Sacre Tillus ne laissa pas le temps aux autres de reprendre leurs esprits, il s'élança sur Samuel, le percutant de tout son poids et le faissant tomber au sol tandis qu'il envoyer un moulinet de son arme qui entailla de plein fouet le bras d'Edouard. Profitant de la douleur de son oppossant, l'Animae lui envoya un direct du droit qui l'étala par terre.
Sheppard réagit en braquant son P90 sur Sacre et tira, la rafale siffla tandis que l'Animae se jettait sur le côté. Mais il ne fut pas assez rapide, une balle lui percuta le mollet, pénétrant dans son muscle. Réagissant en voyant ça, Harmon tira une salve paralysante sur John.
«Désolé Colonel Sheppard.» fit Harmon en direction du militaire d'Atlantis, puis il se précipita vers Sacre et l'aida à se relever.
«Ca va? Vous allez tenir le coups?» demanda-t-il en jettant un coups d'oeil sur le mollet ensanglanté de l'Animae.
«Oui, j'ais déjà connus pire.» marmona Sacre malgré la douleur.
«Bien, dépêchons-nous, nous ne sommes plus très loin.» fitr Harmon en aidant son ami à marcher. C'est alors qu'une voix féminie se fit entendre à travers tout Ithaque.
«Colonel Harmon Rabb, ici le docteur Elizabeth Weir. Je sais que vous et Sacre Tillus êtes en ce moment même dans la cité. Je vous signale qu'Ithaque et sous notre contrôle à présent. Je vous conseille de vous rendre sinon nos otages paieront pour votre arrogance, en commençant par le docteur Harding.»


GENERIQUE


Sacre Tillus et le Colonnel Harmon Rabb marquèrent une pause alors que le message du Docteur Elizabeth Weir réssoné à travers Ithaque. Harmon croisa le regard de l'Animae:
«Vous devriez y aller.» fit-il simplement
«Non, je vous suis.»
«Ecoutez Sacre. On se connait pas depuis longtemps, mais je sais que le Docteur Harding et vous êtes très proche. Je considèrerais cela comme normal que vous décidiez d'allé essayer de la sortir de là.»
«Mais, et vous?»
«Ne vous inquiétez pas, je m'en sortirais tout seul.»
«Merci...» fit Sacre en s'éloignant, se dirigeant vers la salle de contrôle où les Atlantes tenaient en otages la femme qu'il aimait.
Harmon regarda Sacre s'éloignait et se dirigea vers la salle des E2PZ, avançant avec précaution pour ne pas tomber nez à nez avec une patrouille Atlante. Ayant apprit par coeur les plans de la cité, il arriva au lieu-dit. Deux militaires mortant l'uniforme d'Atlantis gardaient la porte d'accès. Harmon se cacha dans l'angle du couloir et dégaina son pistolet paralyseur avant de se jeter à découvert. Il tira une salve de rayons qui neutralisèrent les deux gardes avant qu'ils aient eux le temps de réagir. Harmon passa au-dessus de leurs corps et entra dans la salle où il trouva l'E2PZ alimentant tout le secteur central d'Ithaques.
Sacre avançait avec précaution vers la salle de contrôle de la cité. Il rangea sa dague en silex pour prendre un Beretta qu'il avait récupéré. Pour pouvoir sauver Sarah, il était prêt à utiliser ce qui pour lui était une arme de lache. Il ne fit pas attention en marchant au petit rayon laser rouge qu'il franchit.
«Elizabeth, nous avons repéré Sacre!» appella Rodney Mckay penché sur un moniteur de la salle de contrôle d'Ithaque.
«Où est-il?» demanda la dirigeante d'Atlantis
«Il a déclenché les capteurs du couloirs du bloc E menant jusqu'ici.»
«Ronon, fit Elizabeht en se retournant, je vous le laisse mais je le veux vivant.»
«Ok» répondit-il en armant son pistolet sur le mode paralysant et en faissant signe à deux Marines de l'accompagner. Ils se dirigèrent vers sa position et l'interceptèrent.
«Ne faites plus un pas et lachez votre arme!» le prévint Ronon en le mettant en joue. Sacre obéis et lacha son arme tandis que les deux Marines le firent avançer en pointant dans son dos les canons de leurs P90. Ils l'amenèrent devant Elizabeth qui souria.
«Bonjour Sacre.» lui fit-elle, mesquine
«Où est Sarah?» demanda-t-il sèchement. Elizabeth fit signe à un militaire qui s'éclipsa pour revenir avec Sarah qui avait les poignés ligotés.
«Sacre...» s'exclama-t-elle avec joie
«Que c'est mignon, coupa Elizabeth, mais avant tout, où est le Colonnel Rabb?» questionna-t-elle en se tournant vers Sacre. Au même moment, dans la salle des E2PZ, Harmon débrancha l'extracteur d'énergie du point zéro, coupant l'alimentation dans le secteur central d'Ithaque, le plongeant dans le noir total. Sacre profita de la situation: il envoya un coup puissant aux deux militaires derrière lui, les mettant K.O, et se dirigea vers Sarah. Mais Ronon Dex le plaqua dans sa course. Les deux hommes se relevèrent et se firent face. Sacre dégaina sa dague et frappa Ronon à la taille, lui ouvrant l'abdomen. Mais celui-ci se contenta de sourire alors que sa plaie se refermé devant les yeux ébahis de Sacre. Profitant de la surprise de l'Animae, Ronon lui envoya un coup d'une puissance phénoménale qui envoya planer Sacre contre une poutre métallique: il tomba dans les pommes sous le choc.
«Ronon, ça suffit!» s'exclama Elizabeth, furieuse
«Ils ne doivent pas découvrir la vérité.» reprit-elle
«Désolé.» maugréa Ronon alors que Mckay rallumer les lumières dans la salle.

Le Capitaine Catherine Paterson et les Lieutenants Harrison et Parker étaient réunis autour d'un feu sur lequel mijoté une marmite. Ils aperçurent Ronon Dex et Teyla Emmagan sortir d'une tente et se diriger vers eux. Visiblement, Ronon était énervé par le rendez-vous qu'ils avaient eux avec le chef du peuple Geniis.
«Je ne travaillerais pas pour les Geniis.» maugréa-t-il en s'approchant du feu
«Nous ne travaillerons pas pour eux, tout au plus avec eux.» lui fit Teyla
«Laisse tomber.»
«Que ce passe-t-il?» intervint Catherine
«Depuis qu'Atlantis a été rendue aux Ancètres, les Geniis sont le groupe le plus puissant et organisé d'humains combattants les Wraiths. Ladon Radim, leur chef, nous a proposait de nous joindre à lui.»
«Les Ancètres font faire quelque chose.» renchérit Ronon
«Exact...reprit Teyla, mais n'ils n'ont ni besoin de notre aide ni ne l'ont réclamée. Les Geniis oui. Je sais que tu tiens beaucoup à retourner au combat, mais mes compagnons sont des fermiers.»
«Peut-être ne suis-je pas à ma place ici...» s'empourta Ronon
«Ca sent bon.» Ronon, Teyla et les trois membres d'Ithaque se retournèrent. Ils aperçurent le Major Sheppard et les Docteurs Weir, Mckay et Beckett
«J'espère que vous en avez gardé pour nous.» s'exclama avec joie John. Mais il fut aussitôt mis en joue par Catherine, Harrison et Parker.
«John? C'est merveilleux de te voir, et vous aussi.» intervint Teyla en abaissant l'arme de Cathe.
«Le plaisir est partagé. Mais qui sont-ils?» interrogea Elizabeth en direction des trois militaires
«Se sont le Capitaine Harrison et les Lieutenants Harrison et Parker. Ils font partis de l'expédition d'Ithaque.»
«Alors pourquoi nous pointent-ils comme ça?» s'inquiéta McKay.
«Il y a un problème.» fit simplement Ronon
«Oui, il y a un problème. Laissais-nous vous expliquer...» leurs fit Catherine en baissant son P90.
Les membres d'Atlantis et les membres d'Ithaques étaient dans la tente de Teyla. Mckay montrait des étranges fusils.
«Ils émettent un rayon directionnel qui interrompt les connexions entre les nanites.»
«C'est pas ce que j'avez demandé.» le taquina Ronon
«C'est les derniers prototypes d'arme anti-réplicateurs? Ils sont opérationnels?» intervint Catherine
«Oui, il marche bien.» répondit Rodney
«Donc vous avez besoin de nous parce que...nous connaissons parfaitement la cité?» reprit Ronon
«J'ais besoin de vous parce que vous êtes membres de l'équipe.» lui répondit Sheppard
«Il y a un peut-être des centaines de Réplicateurs sur Atlantis en ce moment.» intervint Teyla
«Elle a raison. De plus ils seront plus nombreux pour pouvoir attaquer Ithaque.» fit Cathe
«Je ne cromprend toujours pas comment vous avez pûs croire que c'était nous?» l'interrogea John
«Ils sont très similaires à une intelligence artificielle que SG-1 a rencontrée il y a quelques années et qui a évoluée... de petits blocs de réplicateurs vers une forme humaine. Ils pourraient même y être liés d'une certaine façon.»
«J'ai lu les rapports. Le SGC a à peine pu vaincre les Réplicateurs humanoïdes.» fit John
«La différence ici c'est qu'ils imitent les Anciens. Ils se sont même construit une version d'Atlantis.» intervint Elizabeth
«Eh bien ils ont dûts copier vos apparences pour nous avoir. Car nous avons vraiment crus que c'était vous qui nous attaqué.. Du coup sur Ithaque, nous croyons tous être en guerre avec vous.»
«Ils sont rusés.» nota Sheppard.
«Au fait, j'espère que vous avez un plan.» fit Teyla en se tournant vers John
«Nous avons un plan. un bon. Je ne vous aurais pas demandé de venir avec nous si je pensais pas pouvoir réussir.» souria John.
«Donc vous vous s'occupez des Réplicateurs d'Atlantis pendant que nous, nous combattons ceux d'Ithaque.» intervint Catherine
«Exact, répondit Elizabeth, en plus le Général O'neill et Richard Woosley étaient sur Atlantis quand les Réplicateurs ont attaqué. Il y a une chance qu'ils soient toujours vivants.»
«Comment vous comptez vous y prendre?» demanda McKay en se tournant vers Catherine
«Je pense que le plus simple est d'abord de nous rendre sur B02-401 pour prendre en chemin Chjara Shiva et son unité Artélienne. On chargera notre GDO pour pouvoir baisser le bouclier d'Ithaque lorsque nous composerons l'adresse.» expliqua-t-elle.
Les membres des deux cités se dirigèrent vers la Porte des Etoiles. Le Lieutenant Harrison se dirigea vers le DHD, prêt à rentrer les coordonnées de B02-401.
«Bonne chance.» encouragea Elizabeth aux trois militaires d'Ithaque.
«Merci.» répondit simplement Catherine
«Que je sois maudit si je laisse un ramassis de Réplicateurs nous voler notre foyer.» fit John
«Et nous, que devrions nous dires. A peine installé que l'on se fait déloger.»
«Il fallait payer le loyer.» souria John au moment ou Catherine, Harrison et Parker traversés l'horizon des évènements.

Sacre était au milieu d'un paisible jardin, allongé sur une verte pelouse. Sarah Harding se tenait lové contre lui. Il lui rendit son regard emplit de douceur:
«Sarah, je croyais t'avoir perdu» fit-il
«Gros béta! Tu croyais que tu pouvais te débarasser de moi?» lui répondit-elle avec un petit rire joyeux avant de l'embrasser. Sacre prit gout à ce contact intime. Il la serra dans ses bras dans une douce étreinte. Sarah, sa Sarah était auprès de lui. Mais c'est alors que la réalité s'effondra: des immense gerbes de laves jaillirent du sol. brulant instentanément les arbres et les fleurs. Sacre aggrippa Sarah tout en regardant l'apocalypse autour d'eux:
«Je ne te laisserais pas mourir. Je t'aime!» Il repossa son regard sur Sarah et poussa une cri de terreur: c'était comme si la peau de Sarah fondé.
«Qui a-t-il mon amour?» lui demanda-t-elle naivement. Sacre ne put pas répondre. C'est alors que plusieurs Sarah apparurent, chacune mourrant d'une façon différente: l'une explosa, une autre se mit à saigner, ... mais toutes criés la même chose:
«Sauve moi! Pitié!» Le coeur de Sacre se déchira, son esprit n'était pas loin de sombré dans la folie et le désespoir. Le désespoir. Il rejeta violament la Sarah qui fondé, et alla sauver une Sarah qui était encore indemme. Celle-ci lui carressa la poitrine et l'embrassa:
«Tu ma enfin sauver! Mais tu ne t'es pas sauver toi même!» lui fit-elle alors qu'elle planta sa main dans le crâne de Sacre.
Sacre hurla de toute ses forces alors que le Docteur Elizabeth Weir retirait sa main du crâne de l'Animae. Tandis qu'il tombait au sol sous la douleur, elle se recula de quelques pas et souria.
«Qu'est-ce qui vient de se passer?» marmonna Sacre tandis que Sarah venait le prendre dans ses bras pour l'aider à se relever.
«Mais... tu es...» balbutia-t-il en voyant Sarah
«Calme toi. Tout va bien.» le réconforta-t-elle
«Le croyez-vous vraiment?» ironisa Elizabeth
«Quel genre de personnes êtes-vous, bon sang?» s'exclama Sacre en affrontant du regard la dirigeante d'Atlantis.
«Ce ne sont pas des personnes. Ce sont des machines. Des Réplicateurs.» fit Sarah
«Bonne déduction, Docteur Harding.» fit Weir en s'approchant d'eux.
«C'est illogique, SG-1 ont détruit tout les Réplicateurs de la galaxie.»
«Oui en effet, tout nos cousins de la voie Lactée ont été détruit. Mais dois-je vous rappeler que nous sommes pas dans la voie Lactée?.»
«Comment? Il y a aussi des Réplicateurs dans Pégase?»
«Oui.» asquièça Elizabeth
«Expliquez-vous!»
«Les Anciens, comme vous les appelez, désespéraient de trouver un meilleur moyen pour combattre les Wraiths. Bien que largement moins nombreux, ils comptaient sur leur supériorité technologique pour leur donner l'avantage nécessaire. Bientôt ils aboutirent à sa création: plutôt que de créer des armes plus grosses, plus puissantes; ils choisirent d'en créer de plus petites, des machines microscopiques conçues pour infiltrer et détruire de l'intérieur.»
«Des nanites.»
«Exact, asquièça Elizabeth, dans ces petites machines tueuses, les Anciens insufflèrent une agressivité qui surpassait même celle de leur ennemi. La technologie permettait l'assimilation organique et l'autoréplication pour augmenter leur efficacité... et ils se répliquèrent. Leur nombre grandissait, se développant à une vitesse qui prit les Anciens par surprise. Les machines moléculaires commencèrent à s'emboiter, s'assemblant pour former des organismes bien plus complexes. Pour évoluer finalement vers la forme la plus efficace et efficiente qu'ils connaissaient.
Voici comme nous sommes nés. Nous avons pris l'apparence de nos créateurs, même si nous étions très différents d'eux.
«Alors pourquoi avez-vous l'apparence des membres d'Atlantis?» interrogea Sarah
«L'agressivité programmée dans notre noyau est restée...» continua le Réplicateur Elizabeth en ne prêtant pas attention à la question de la jeune femme
«...Alimentant une rage que nous ne pouvions contenir. Nous les avons implorés de retirer cette violence de notre programmation, mais les Anciens voulaient une arme, et puisque leurs scientifiques avaient inclus une directive, nous interdisant pour toujours de leur nuire, ils continuèrent l'expérience. Quand les Anciens concluèrent que l'expérience était allée trop loin, que nous deviendrons jamais l'arme qu'ils désiraient créer, ils décidèrent d'y mettre fin. Et donc ils choisirent de nous détruire, de ne laisser aucune trace de nous.» finisat-elle
«Il est clair que les Anciens ne vous ont pas complètement détruits.» intervint Sacre
«Oui. Quelques un des notres ont survécus avant de continuer à se répliquer.»
«Mais je ne crompend toujours pas comment nous en sommes venue à cette situation.» glissa Sarah en se tournant vers le Réplicateur à l'apparence d'Elizabeth.
«Il y a à peine un mois, les membres de SGA-1 et le Docteur Elizabeth Weir ont découvert notre cité: Asuras. Apprenant que plus aucuns Anciens se trouvaient sur Atlantis nous avons décidé de détruire cette cité et tout les humains qui si trouvé. Mais SGA-1 nous en a empêché en détruisant notre réplique d'Atlantis. Depuis, nous nous sommes préparais pour une revanche. Il y a quelques jours, nous avons fais croire aux membres d'Atlantis au retour des Anciens, les forcant à quitter la cité pour nous l'approprier.»
«Vous voulez dire que vous avez renvoyé nos confrères sur Terre?» s'exclama Sarah, surprise.
«Oui. Mais en parcourant les informations laissées par le Docteur Weir et son équipe, nous avons découvert l'existence d'Ithaque.»
«Alors vous avez eux envie de vous l'appropier à son tour. Et de vous faire passer pour les membres d'Atlantis.»
«Exact. Grâce aux données que nous avons appris sur les Réplicateurs humanoïdes de votre galaxie, nous avons décidé de prendre l'apparence du personnel d'Atlantis afin de brouiller les pistes lorsque nous vous avons attaqués pour la première fois.»
«Votre objectif était de nous faire croire que nous étions attaqués par nos propres frères pour nous faire quitter Ithaque, c'est cela?» interrogea Sarah.
«En effet. Mais nous n'aurions pas pensés que vous contre-attaquerez en croyant pourtant vous battre contre vos confrères.»

Le Colonel Harmon Rabb remit en place la grille d'aération derrière laquelle il avait caché un des E2PZ alimentant Ithaque. Le débranchement de l'extracteur d'énergie du point zéro avait provoqué des courts-circuits et une panne d'électricité dans le secteur central de la cité. Mais les Atlantes avaient résolus le problème en basculant sur les générateurs à Naquadah. Harmon avait donc décidé de cacher l'E2PZ pour ralentir les membres d'Atlantis. Il finit de viser la grille et prit son P90 qu'il arma avant de se lancer dans un couloir.
Harmon se dirigea vers les quartiers résidentiels où les membres de son expédition étaient retenues prisonniés. Une unité de quatres Marines surveillaient l'entrée de la tour. Harmon dégoupilla une grenade lacrymogène qu'il envoya rouler aux pieds des gardes qui furent étouffé par la fumée irritante. Il en profitat pour passer entre eux, mais un des militaires l'apperçut à travers la fumée et lui cria de s'arrêter. Harmon répondit par une salve de P90 sur les soldats qui chutèrent au sol tandis qu'il refermait la porte derrière lui et détruisait le boitier de la serrure électronique. Il se dirigea vers la salle principale où tout les prisonniés étaient réunis.
«Colonel Rabb?» fit avec surprise le Docteur Juliette Fletcher en le voyant
«Bonjour Docteur, comment allez-vous?» demanda-t-il
«Euh, nous allons bien. Mais...»
«Désolé, nous n'avons pas le temps de discuter. Nous devons essayer de trouver un moyen pour regagner la Terre le plus vite possible.» coupa Harmon en distribuant à ses hommes des armes qu'il avait récupéré en passant par l'armurerie. Ils allaient sortirent du batîment lorsque ils s'arrèterent net devant la porte de sortie.
«Mais qu'est-ce que...» hoqueta Harmon tandis que la porte ondulait. Un des Marines traversa la Porte et apparut devant eux, suivit des trois autres.
«Feux à volonté!» ordonna-t-il à ses hommes. Ils criblèrent les quatres Marines d'une multitudes de balles, faissant fumer les canons de leurs armes. Mais à leur grande stupeur, les soldats ennemis ne bronchèrent pas alors qu'ils étaient troués comme du gruyère. C'est alors que chaques balles ressortirent de leurs corps et tombèrent au sol sous le regard terrifé d'Harmon.
«Reculez!» hurla-t-il à ses hommes et aux autres civils. Il prit une grenade explosive, la dégoupilla et la lança sur le militaires de tête. Celui-ci explosa et vola en miliers de nanites tandis que les trois autres tombèrent à terre sous l'onde de choc avant de se relever. Harmon prit la fuite en couvrant ses arrières par une dernières rafales de P90 qui ne ralentit pas les trois individus. Il s'élança dans les escaliers et rattrapa le groupe.
«Vous allez bien mon Colonel?» demanda le Lieutenant-Chef Riza Hawkeyes
«Oui. Vous avez une idée de ce qu'ils sont?» demanda-t-il en direction de Juliette
«Eh bien à l'évidence, on dirait des Réplicateurs.» répondit-elle
«Quoi?! Et comment on s'en débarrasse?»
«Il nous faudrait une arme spécialement mise au point pour les combattre. Ce sont des armes à énergie, elles rompent les liens entre les nanites.»
«En avons nous dans notre armurerie?» questionna Harmon
«Non. Nous ne pensions pas avoir à combattre de tels ennemis sur Ithaque.»
«Mais je ne comprend pas comment ils peuvent avoir l'apparence des membres d'Atlantis.» intervint le Lieutenant-Chef Hawkeyes
«Eh bien il semblerait qu'ils peuvent modifier l'assemblace de leurs nanites pour prendre la forme qu'ils veulent. Le SGC a déjà eu à faire à un Réplicateur humanoïde ayant l'apparence physique du Colonel Samantha Carter.» répondit Juliette.
«Nous devrions vite trouver un moyen de nous débarasser d'eux. Je n'aurais pas assez de grenades pour tous les faires exploser.» leur rappella Harmon tandis qu'ils entendirent les trois Réplicateurs se rapprocher...


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Le Colonel Harmon Rabb se retourna, il poussa le Docteur Juliette Fletcher, la faissant tomber au sol au moment où une rafale de balles la prenait pour cible. Harmon dégaina immédiatement son P90 et vida son chargeur sur les trois Réplicateurs qui se tenaient devant eux. Mais malgré la soixantaine de balles fumantes qui avaient pénétrés leurs corps, ils régénérèrent leurs nanites en quelques secondes.
«Continuez! Lieutenant-Chef Hawkeyes couvraient les.» ordonnna Harmon à Juliette et aux autres. Ils s'engagèrent dans un couloir. Un des Réplicateur se dirigea vers un mur et se fondit dedans, se lançant à leurs poursuite en traversant les murs pour leur couper leur route. Quant à Hamron il fit face aux deux autres. Il dégoupilla une grenade et la lança dans leurs directions. Le premier l'esquiva et se précipita sur lui tandis que le deuxième attrapa en plein vol la grenade dans sa main. Il serra fortement l'arme dans sa main qui explosa en la lui arrachant. Il souria tandis que les nanites reconstituaient sa mains.
Harmon vida un nouveau chargeur sur le Réplicateur qui le chargé, le fauchant en plein élan. La machine tomba au sol. Harmon s'approcha en armant un nouveau chargeur. Mais le Réplicateur le prit de cour. Il lui envoya un coup de pied qui désarma Harmon. Avant que celui-ci n'est réalisé, il l'attrappa par la cheville droite et tira un coup sec vers lui, faissant tomber à la renverse le Colonel. Mais Harmon dégaina son couteau de chasse et lui trancha le pied gauche. Le Réplicateur perdit l'équilibre. Il attrapa Harmon par le col de son uniforme et l'entrennat avec lui dans sa chute dans les escaliers. Ils roulèrent-boulèrent dans les marches. Profitant que son adversaire se couvrait d'échimoses, le Réplicateur frappa Harmon. Ils finirent par atterir aux pieds des escaliers, chacun s'écroulant au sol. Harmon se releva le premier, il se précipita vers son ennemie, le plaqua au sol et lui ouvrit de force la bouche. Il dégoupilla sa dernière grenade et la lui enfourna dans la bouche avant de courir vers les escaliers au moment où le crâne du Réplicateur explosé. Ses nanites principales littéralement détruites, il ne put se régénérer.

Le Docteur Juliette Fletcher et le reste de l'expédition couraient dans un couloirs, se dirigeant vers un téléporteur. La machine était à a peine quatres mètres lorsque le Lieutenant-Chef Riza Hawkeyes stoppa le mouvement.
«Feux à volonté!» hurla-t-elle à ses hommes alors qu'un des trois Réplicateur sortait d'un mur, juste devant eux, entre eux et le téléporteur. Les six militaires firent feux à bout portant sur lui. Mais il se contenta de sourire tandis que les balles resortaient de son corps. Juliette regardait la scène lorsqu'une idée lui vint en tête. Elle se tourna vers Quentin Corrigan.
«Ecoutez moi Quentin, quand je vous en donnerais l'ordre, activé tout les systèmes du laboratoire LB5-072.» lui fit-elle
«Mais pourquoi?»
«Faites juste ce que je vous dis.» lui répondit-elle en se précipitant droit sur le Réplicateurs, bousculant dans sa course Riza. Elle attrapa le Réplicateur par la taille et se téléporta avec lui vers le laboratoire LB5-072. Lorsque ils réapparurent dans le laboratoire, le Réplicateur prit le dessus. Il lui envoya un coup qui la projetta de l'autre côté de la pièce, lui faissant percuter le mur. Le laboratoire était assez vaste: deux sortes de grand bacs se trouvaient au milieu de la pièce. Une sorte de grand bras mécanique était à côté d'une rangée de cuve cylindrique en verre.
«Quentin, vous m'entendez? Allez y!» lança-t-elle à travers sa radio. Le courant se remit aussitôt à se remettre en route, le labo reprenant peu à peu vie. Les deux couvercles des grands bacs coulissèrent, révélant deux bacs de cryogénisation. Le Réplicateur s'approcha de Juliette et lui serra la gorge avec une poigne de fer. La jeune scientifique commençé à étouffer. Mais elle lutta: elle envoya un puissant coup de pied dans l'abdomen du Réplicateur qui recula sous l'impact et la relacha. Juliette continua sur sa lancée et lui envoya un autre coups qui le fit basculer dans un des deux bacs dont une fumée glaciale s'éleva.
La pince du bras mécanique s'activa et plongea dans le bac. Elle en ressortit avec entre ses pinces un bloc de glace. Juliette put y apercevoir le Réplicateur dont le visage était défigurée par la terreur. La pince dépossa le corps cryogénisé dans une des cuves et la referma.

Le Colonel Harmon Rabb remontait les escaliers avec difficulté étant donné tout les échimoses dont il était recouvert. Il arriva au bout des marches et s'arrêta pour reprendre son souffle. Mais il n'eu juste le temps d'inspirer que le dernier Réplicateur se précipitait sur lui. La machine restructura les nanites de son bras our en faire une lame mortelle. Il décrivit un puissant moulinet qu'Harmon esquiva de justesse. L'humain se releva mais le Réplicateur il envoya un coup de pied dans le ventre, qui le fit passer à travers une vitre. Harmon eut le réflexe d'agripper son adversaire, l'entrennant dans sa chute.
Harmon sentit la pluie tomber sur son visage alors qu'il basculait dans le vide, suivit du Réplicateur. Il entrouvit les yeux et apperçut le sol d'Ithaque à plusieurs mêtres en dessous: la chute serait mortelle. C'est alors que ses mains se refermèrent d'instinct sur la rambarde d'un balcon. Resserant sa prise, Harmon respira mais sentit un choc lui tirer les jambes. Il regarda en dessous de lui et apperçut le Réplicateur agrippait à ses jambes.
«Lache-moi saloperie!» maugréa-t-il en secouant ses jambes pour faire lacher prise à son ennemie. La main de celui-ci glissa sur le pantalon du Colonel, lui libérant la jambe gauche. Harmon saisit l'occasion et lui envoya un puissant coup de pied dans la tête. Le Réplicateur hurla de rage au moment ou il tombait dans le vide. Dans sa chute, il fut frappé par un éclair parcourant le ciel. Le corps du Réplicateur fut parcouru par l'immense flux électrique qui cour-circuita ses nanites.

Le Réplicateur à l'image du Docteur Elizabeth Weir se détourna de ses deux prisonniés: Sacre Tillus et Sarah Harding. Elle rentra en connexion synaptique avec les quatres Réplicateurs devant surveiller les autres prisonniés dans les quartiers résidentiels.
«Lieutenant, au rapport.» fit-elle, mais elle ne perçut pas de réponse sur leur réseau.
«Elizabeth... vous m'entendez.» lui répondit-on
«Sheppard? C'est vous?» demanda-t-elle
«Oui. Le Colonel Rabb et Sacre Tillus m'ont échappés.»
«Je sais. Nous avons capturés l'Animae. Vous devriez allé aux quartiers résidentiels. Je ne ressent plus les gardes que j'ais placé en surveillance.»
«A vos ordres.» fit le Réplicateur Sheppard en s'éclipsant du réseau.
Elizabeth regarda, par la baie vitrée de la salle de contrôle, la Porte des Etoiles en contre-bas. Même si le Colonel Rabb et ses hommes s'étaient débarrasés de quatres Réplicateurs, ils en avaient pas pour autant gagné la partie. C'est alors que la Porte s'activa.
«Que ce passe-t-il? Activez le bouclier.» ordonna-t-elle
«Je ne peux pas.» lui répondit le Réplicateur en poste à la console de commande de la Porte.
Le Capitaine Catherine Patersone et l'Artélienne Chjara Shiva furent les premières à surgirent du vortex, suivies par les Lieutenants Harrison et Parker ainsi que par une vingtaine d'Artélien. Les deux femmes ouvrirent le feux avec les nouvelles armes anti-réplicateurs que leur avait confié John Sheppard. Les deux rayons touchèrent de plein fouet deux Réplicateurs Marines dont les connectionns entre les nanites furent interrompues. Les deux Réplicateurs tombèrent littérallement en morceaux, recouvrant le sol de leurs nanites.
«Rispostez!» hurla Elizabeth à ses hommes. C'est alors qu'à côté d'elle, le Réplicateur qui s'occupé de la Porte fut fauché par un tir de Chjara, ses nanites roulant jusqu'aux pieds de Weir. Elle regarda un instant ses nanites avec dégoût et peur: elle se rendit compte qu'ils n'étaient pas aussi invulnérable qu'ils le pensés.

«Très bien, les gars, on y va! Go, go, go!» fit Chjara à ses hommes. Ils la couvrirent de leurs tirs d'armes automatiques tandis qu'elle visé les Réplicateurs avec son arme à rayons. Pendant ce temps, le Capitaine Paterson et les Lieutenants Harrison et Parker neutralisèrent deux Réplicateurs qui les prenaient par revers.
«Joli tir!» fit Chjara en direction de Catherine qui avait habillement abattut un Réplicateur
«Merci. Mais même si nous avons l'effet de surprise, nous avons que deux armes anti-réplicateurs tandis que eux, ils sont plus nombreux.»
«Ne vous inquiétez pas, mes hommes sont entrainés pour des situations similaires.» souriat Chjara avant de se retourner vers un Artélien armé d'un lance-grenade.
«Malek, envoit les fumigènes.» lui ordonna-t-elle. Il leva son arme et tira, envoyant une grendade lacrymogène vers la salle de contrôle. Une épaisse fumée blanche se répandit, empêchant le réplicateur à l'image d'Elizabeth Weir de discerner quoi-que ce soit. Mais la machine n'avait pas dit son dernier mot. Sa vision se nuança en rouge et bleu, telle des jumelles infra-rouges. Elle décrocha de sa ceinture une arme et la braqua sur un des Artéliens qui dégageait une chaleur facilement repérable. Le réplicateur ajusta son tir qui faucha l'homme. Elle appuya ensuite sur un des inonbrables boutons d'une consôle de commande, activant le système de ventilation qui se mit aussitôt à aspirer la fumée des fumigène.
Elizabeth pouvait mieux voir à présent et descendit les escaliers menant à la Porte des Etoiles. Elle arma son pistolet lorsque elle tomba nez-à-nez avec Chjara Shiva. L'artélienne braqua dérechef son arme anti-réplicateur sur son adversaire. Les deux femmes, l'une de chair et de sang et l'autre de nanites et de circuits se regardèrent yeux dans les yeux. Elles savaient que cela importé peu de savoir qui d'entre elle deux tirerait la première, car dans les deux cas, elles mourraient toutes les deux. Leurs doigts se crispèrent sur la détente lorsque une rafale éclata. Le réplicateur trésautat alors que le docteur Fletcher et le Lieutenant-Chef Riza Hawkeyes vidaient leurs chargeur dans le dos de la machine. Elizabeth fut l'espace d'un moment surprice, moment que Chjara mit à son profit en tirant avec sonr arme à rayon.
«Je crois que nous arrivons au bon moment.» souria Riza en abaissant le canon de son arme encore fumant. Au même moment les civils pénétrèrent dans la salle, les derniers réplicateurs humanoïdes étant prits en tenaille entre eux et les Artéliens.
«Où est le colonnel Rabb?» demanda alors Catherine Peterson en s'avançant vers Riza et Juliette.
«Il a intercepter deux réplicateurs pour couvrir notre fuite, nous ne savons pas si il est ...» Mais Riza ne préféra pas finir sa phrase. Elle voulait croire que son colonnel s'en était sortit indemme, dans le cas contraire, cela aurait voulut dire qu'elle avait échoué dans sa mission.
«Bon, il ne restait donc plus qu'eux?» interrogea Chjara en se retournant vers les onze derniers réplicateurs encerclaient par ses compagnons Artéliens.
«Logiquement oui, fit Juliette en allant défaire de leur lien Sacre et Sarah, j'ais moi même éliminé un réplicateur et si le colonnel Rabb a eut les deux siens, le compte doit être bon.»
«Attendez, intervint Sacre en se relavant, avez-vous eus le Colonnel Sheppard?»
«Il ne me semble pas avoir vu un réplicateur à son image.» risqua Juliette
«Alors cela veut dire qu'il reste encore une de ces saloperies dans la cité.» jura Catherine
«Oui, et le pire, c'est qu'il a dût déjà commencait à se répliquer. Il faut a tout prit le neutraliser avant qu'ils soient en surnombre et qu'ils...» Mais une violente explosion coupa la parole à Juliette.
«Quentin au rapport.» ordonna-t-elle en se tournant vers Quentin Corrigan qui c'était déjà mit au travail sur une des consoles de la salle de contrôle.
«L'E2PZ du secteur nord à été mit en surcharge. Cela provoque des courts-circuits dans toute la cité. Ca risque de toucher les autres E2PZ et de les faires exploser. Et une telle explosion détruirait entièrement Ithaque.»

Le colonnel John Sheppard, ou du moins le réplicateur humanoïde ayant prit son apparence, s'éloigna de la console de l'E2PZ qu'il avait mit en surcharge, pour aller ouvrir le couvercle d'un ordinateur portable posé juste à côté. Il fit glissé son doigt dans la prise USB de l'appareil est l'alluma sur une simple impulsion mentale.
Un réplicateur insectoïde vint grimper sur son épaule pour voir se qu'il faissait. John le caressa avec un regard qu'un humain aurait qualifié de paternel avant de continuer son travail. Il pirata facilement l'ordinateur sur lequel un écran demandant deux clès d'accès. Il rentra le code officiel du docteur Juliette Fletcher et du colonnel Harmon Rabb, activant ainsi l'autodestruction d'Ithaque, programmée dans 3 minutes.

Harmon s'arreta pour reprendre son souffle lorsqu'il entendit le signal de l'autodestruction de la cité résonner dans les couloirs. Il reprit alors sa route malgré ses blessures lors de son combat contre les deux réplicateurs. Au bout de quelques minutes, il entendit un bruit des plus caractéristique dans une pièce voisine. Il s'aventura vers la porte et regarda rapidement par l'ouverture.
«Et merde.» maugréa-t-il en voyant ce qu'il aurait pût qualifier de rucher ou de nid à réplicateurs. Une sorte de ces grosses machines était entourés par des centaines de petits réplicateurs insectoïdes dont elle ne cessait pa sd'accroitre le nombre en se répliquant. Harmon alla s'en aller discrètement lorsque une de ces bestioles l'apperçut et s'avança vers lui avec curiosité.
«Bien que tu sois mignon, j'ai pas envie d'un animal de compagnie comme toi, mon ptit gars.» fit-il en tirant une balle de son Beretta en plein sur le réplicateur qui se mit alors à émetteur une vibration qui alerta ses compagnons.
Harmon, n'ayant plus que cinqs balles, décida de fuir. Mais le couloir était déjà rempli de réplicateurs. Il fit marche arrière et pénétra instinctivement dans une autre salle dont il referma la porte. Esoufflé, il s'appuya contre la porte. C'est alors qu'il vit Sheppard.
«A salut Sheppard, vous tombez bien, ça grouille de réplicateur de l'autre côté de cette porte.»
«Je sais, vus que c'est moi qui vient de les créer.» ironisa John, ce qui fit palir Harmon.
«Ok, je vois... donc je pense que pour célébrer ça, je me dois de vous faire un quelconque cadeau?» sur ce, Harmon braqua son Beretta sur la tête de John et tira à bout portant.
«Quelle perte de temps colonnel» soupira le réplicateur sans tressaillir
«Ce que vous me donnez, je m'en sert pour créer.» fit John en tendant la main dans laquelle apparut un nouveau bloc de nanites.
«Ok, si toi t'es celui qui créé, moi je suis celui qui détruit!» s'exclama Harmon au moment ou il envoya un direct du droit en pleine face du réplicateur. Celui-ci encaissa sans broncher.
«Croyez-vous vraiment pouvoir m'arrêter avant que Ithaque soit détruite?» le narqua John en lui montrant le compte à rebours de l'auto-destruction qui continuait à diffiler: 1 minute 30 seconde avant autodestruction.
Harmon n'eut qu'une idée sur le moment, il prit un taser de 10.000 volts caché dans une des poches intérieure de son uniforme, et envoya une puissante décharge dans l'ordinateur portable auquel était toujours relier le réplicateur. La décharge fit sauter les circuits de l'ordinateur et traversa le corps de John en suivant le chemin de son doigt qui été encore dans la prise USB. Le réplicateur subit à son tour le choc électrique et tomba dans les vapes.
Réagissant directement, le Colonel Rabb s'empara d'une console et contacta par radio la salle de contrôle principale.
«Docteur Fletcher? Me recevez-vous?» demanda-t-il en pensant qu'il pouver tout aussi bien tomber sur les réplicateurs.
«Colonel Rabb? C'est bien vous? Où-êtes vous?» se fit alors entendre la voix de Juliette. Mais comment être sur que c'était-elle? Tandis il fallait faire avec.
«Ecoutez moi, j'ais débusqué un nouveau nid de réplicateur, mais avant tout vous devait éteindre l'autodestruction. Mon code personnel est le 6005-5820-7696» Harmon attendit quelques secondes avant de ne plus entendre le bruit de l'autodestruction de la cité.
«Bien joué Fletcher, maintenant il nous reste plus qu'à nous occuper des réplicateurs. Avez-vous une idée?»
«Pas pour le moment mon Colonel, mais nous faissons aussi vite que nous pouvons, mais le temps joue contre nous. Car si, comme vous l'avez dit, il y a un nid de réplicateurs dans la cité, alors dans une heure nous serons complètement submergés.»
«Avez-vous un chiffre?» risqua Harmon
«Eh bien avec tout les matériaux qu'ils ont à leurs dispositions, ont peut dire que d'ici une heure ils peuvent se répliquer en un millards d'exemplaires.»
«Bon écoutez Fletcher, j'ais peut-être une idée pour les mettre hors jeu. Tout à l'heure, j'en ais précipité un par les fenètres, et il c'est fait exploser par la foudre.»
«C'est une idée à railler de votre liste. Il suffit qu'il reste une seule nanite pour qu'elle se réplique à nouveau.» expliqua Juliette
«Bon OK plan B. Je viens juste de mettre OUT le réplicateur avec la gueule de Sheppard en lui envoyant une décharge électrique de 10.000 volts, certe ça ne la pas tué, mais ça la mit dans les vapes. Cela peut au moins nous laisser le temps pour trouver une solution définitive.»
«En effet, cela peut nous laisser du temps pour réfléchir, mais comment comptez-vous vous y prendre pour tous les électrocutés en même temps?» interrogeat-elle
«Eh bien, il nous suffirait de replier les pare-tonnerre et de laisser la foudre s'abattre sur la cité. La foudre, grâce aux structures métalliques de la cité qui sont conductrices d'électricité, pourra ainsi toucher tout réplicateur se trouvant sur Ithaque.»
«Dois-je vous rappeller que si les Anciens ont prévus des paratonnerres pour dévier la puissance de la foudre, c'est qu'ils savaient que la cité ne pourrait pas résister à un orage d'une telle amplitude. Nous avons déjà failli provoquer une catastrophe à cause de ça» fit Juliette
«Je sais, mais avons nous réellement le choix? Je préfère que dans le pire des cas, que la cité explose plutôt que de voir une nouvelle colonie de réplicateurs se créer.»
«D'accord, c'est vous le militaire.» rétorqua Juliette
«Bien. Mettez tout le monde à l'abri, si je me souvient bien les plans d'Ithaque, il y a une pièce totalement isolante. Je vous y rejoins le plus vite possible.» ordonna-t-ilavant de côté la communication radio.

Harmon se retourna vers la porte et arma son Beretta. Il n'était pas très enthousiaste. En effet, comment se frayer un passage à travers des centaines voir des milliers de réplicateurs avec seulement une seules balles de Beretta? L'instant d'un moment, une idée lui vint à l'esprit: et si cette balle pouvait être pour lui? Il secoua vivement la tête comme pour chasser cette pensée. C'est alors qu'il apperçut un réplicateur pénétrait dans la pièce après avoir rongé un bout de mur. Il fut bientôt imité par d'autre et Harmon fut vite encerclé.
«Colonel Rabb, où êtes vous? Nous vous attendons pour pouvoir baisser les para-tonneres.» demanda alors par radio Juliette. Harmon ne savait pas quoi répondre. C'est alors que son instinct de militaire prit le dessus.
«C'est bon, ne vous inquiétez pas pour moi. J'ais trouvé un autre abri isolant. Vous pouvez envoyer la gomme.» fit-il, sachant que si Juliette comprenait qu'il mentait, elle arrêterait toute l'opération.
Le para-tonnere de la tour principale d'Ithaque fut le premier à se replier, suivit par les autres. La foudre en profita aussitôt et frappa la cité. L'électricité parcourue comme une vague folle toutes les structures métalliques de la cité, foudroyant tout ce qu'elle rencontrait. Mais avant que la foudre s'abatte une deuxième fois, l'équipe du docteur Fletcher avait déjà remit en place les para-tonnerres pour préserver la cité.
Les cheveux d'Harmon s'hérissèrent en sentant la vague électrique approcher. Les réplicateurs eux aussi sentirent le phénomène et commençèrent à fuir. Mais ils furent rattrapés par le courant qui les mits OUT. Harmon les regarda s'écrouler avant que son propre corps soit à son tour parcourut par l'électricité. Il hurla comme un dément avant de tomber à terre.

Le lieutenat-Chef Riza Hawkeyes épongea le front de son Colonel. Celui-ci ouvrit les yeux et regarda sa jeune officier.
«Comment vous sentez vous Colonel Rabb?» demanda-t-elle
«Bien, j'ais juste un peu la tête dans le cul.» articula-t-il
«Réjouissez-vous de n'avoir que mal à la tête, vous aurez put y rester.»
«Je sais. Qu'avez-vous fait des réplicateurs après les avoirs mit OUT?» demanda-t-il alors
«Le docteur Fletcher nous a tous réunis en équipe de trois pour récupérer toutes les nanites de la cité avant qu'elles se remettent en route. Nous les avons placés dans des conteneurs avant de les envoyer dans l'espace par l'intermédiaire de la Porte des Etoiles.» lui expliqua Riza
«Bien joué.» féliciata Harmon
«Mon Colonel, risqua Riza, puis-je vous demandez une question?»
«Oui, bien sur.»
«Pourquoi avez-vous mentis au docteur Fletcher? Vous avez faillis y rester, pourquoi avoir fait une telle chose?» Harmon inspira profondément avant de répondre.
« Il y a toutes sortes de situations où un homme doit être prêt à risquer sa vie. Pour une vie sur le point de disparaître emportée par une violence cruelle, pour les proches ou la femme aimés, pour les enfants envers qui nous devons toujours faire preuve de compassion, pour le peuple si précieux... et pour les amis en qui l'on a placé sa confiance... chacune de ces vies... vaut la peine de risquer notre propre vie pour la sauver. C'est pour cela, que nous autres militaires, avons décidés de suivre cette voie: pour être le bouclier protecteur des civiles.» expliqua Harmon à Riza



FIN DE L'EPISODE