2x09 Contact

Contacts

Le docteur Daniel Jackson posa, pour la première fois de sa vie, les pieds sur la cité d'Ithaque. Il fut accueillit par une pluie diluvienne. Heureusement qu'il avait pensé à prendre un parapluie. Il fit un signe de la main en voyant Chjara Shiva s'approchait de lui et le conduire au sec. Ils échangèrent quelques mots de salutation.
Si Daniel était aujourd'hui sur Ithaque, c'était pour tenter une expérience avec l'Artélienne: contacter les êtres élevés. Il avait eu une discussion sur Terre avec Chjara à ce sujet. Elle lui avait expliqué qu'elle avait fait l'Ascension bien avant sa naissance, grâce à sa mère Perenna. Mais, pour une raison qui lui était inconnue, elle avait l'air d'avoir gardé une partie de ses pouvoirs alors qu'elle était dans notre plan d'existence. Pourquoi les êtres élevés lui avaient-ils laissé ses pouvoirs alors qu'elle n’était plus à leurs côtés? C'était à cette question qu'ils allaient essayés de répondre aujourd'hui.
Ils comptaient essayer de rentrer en contact avec les êtres élevés. Mais comment? C'est grâce au don d'empathie et au tout nouveau pouvoir de télépathie de Chjara que Daniel comptait y parvenir. Quant à lui, c'était une des seules personnes sur Terre a avoir fait l'Ascencion et à avoir été banni. Il avait même eu l'occasion de rencontrer directement les êtres élevés, et c'était retrouvé face à face avec Anubis et Oma Dessala, lorsque celle-ci lui avait proposé d'effectuer une seconde Ascension.

Chjara et Daniel s'isolèrent dans une pièce d'Ithaque, afin de ne pas être perturbé par le bruits des autres occupants de la cité. Ils s'assirent en tailleur l'un en face de l'autre. Daniel retira ses lunettes qu'il posa sur le sol, à côté de lui.
«Bien, fit-il, je vais essayer de me remémorer l'endroit où Oma Dessala m'a proposé de refaire l'Ascencion. Vous, vous essayerez d'entrer dans mon esprit grâce à la combinaison de vos dons de télépathie et d'empathie. Je pense qu'avec vos pouvoirs d’être élevé, nous pourrions parvenir à rentrer en contac avec les autres.»
«Si je comprends bien, vous allez servir de relais ?» demanda Chjara.
«Oui, en quelque sorte. Ma théorie est qu'à travers mes souvenirs, et en utilsants vos pouvoirs, nous pourrions localiser ce lieu et nous y projeter.» expliqua une dernière fois Daniel
«Bien. Alors commençons.» asquièça l'Artélienne.
Daniel ferma les yeux, et commença a essayer de se souvenir de ce moment de sa vie. Il dessina mentalement le portrait d'Oma, et le bar stylé années 70 dans lequel ils avaient discuté. Il sentit les mains de Chjara sur ses paumes.
«Oui, c'est bien... concentrez-vous. Faites-le vide dans votre esprit. Laissez-vous plonger dans le mien. Il faut que vous réussisiez à visualiser mes souvenirs...»
«Daniel, le coupa Chjara, si vous voulez que je me concentre, taisez-vous.»
«Euh oui... Désolé.»
L'Artélienne se concentra, y mettant toutes ses forces. Mais l'exercice était difficile, elle qui ne maitrisait que partiellement ses pouvoirs. Faisant appel à toute sa volonté, elle pénétra dans l'esprit de Daniel. Les souvenirs de l'archéologue l'innondèrent, mais elle réussit à aller vers celui que Daniel essayait de lui montrer.
C'est alors qu'elle sentit comme une vague de lumière les emporter. Elle ouvrit les yeux, surprise : ils se trouvaient tous les deux dans un petit restaurant des années 70. La salle était bondée de monde, et une serveuse allait et venait de table en table.
«Daniel ?» demanda Chjara.
«Je crois que nous avons réussi.» lui répondit-il,


GENERIQUE


Daniel Jackson et Chjara Shiva se retrouvèrent dans dans un petit restaurant dont la décoration était digne des années 1970. Le cuir des banquettes était vert et se marié bien avec les boisseries. Une rangée de table était disposé devant la baie vitré dont les stores étaient baissés, laissant juste filtré une douce lumière. Un juke boc était dans un angle de la pièce, laissant entendre un air de jazz.
«C'est ici?» interrogea Chjara en se tournant vers Daniel
«Oui... c'est ici qu'Oma m'a proposé de faire l'Ascencion pour la deuxième fois.». Il invita l'Artélienne à s'assoir à une table. La table à côté d'eux était occupé par quatres vieillard jouant à la belotte. Ils saluèrent la jeune femme, qui leur répondit par un bonjour, au grand étonnement de Daniel Jackson.
«Qu'y-a-t-il?» Demanda Chjara
«Et bien... personnes de m'avait salué lors de ma dernière visite. Les seules personnes qui m'ont adressé la parole était Oma et Anubis.»
«Vous pensez que votre amie... Oma Desala... est toujours serveuce dans ce lieu?»
«On parle de moi?» Chjara et Daniel se retournèrent vers la femme qui venait de leur adresser la parole. C'était une serveuse dont l'uniforme était bleu ciel, et sur lequel était passé un tablier rouge. Daniel la reconnue immédiatement.
«Oma?»
«Bonjour Daniel, bonjour Madame Shiva.» les salua Oma Desala.

Chjara dévisagea Oma avec curiosité.
«Comment connaissez-vous mon nom?» demanda-t-elle, intrigué
«Tout le monde ici vous connez.» souria Oma alors que Daniel et Chjara se rendaient compte que tout les clients du restaurants les regardé, comme interressé par cette rencontre.
«Mais... je ne suis jamais venu ici.»
«Vous devriez d'abors vous remplir l'estomac. Des gouffres pour Daniel, et pour vous?» répondit tout simplement Oma. Chjara alla insister mais Daniel lui fit comprendre qu'avec ces gens là, il fallait mieux être patient. L'Artélienne commanda juste un jus d'orange. Oma asquièça et se dirigea vers le comptoir où elle s'adresse au chef cuisinié.
«Eh Berny, un café, un jus d'orange et des gouffres au sucre pour la table 7.» fit-elle.
«La table 7? Mais c'est la table de Madame Shiva ça.» souria le cuisto en sortant de la cuisine pour voir par lui même Chjara.
«Vous allez voir, je vais vous régaler les papilles. Je vais vous ouvrir un pot de confiture de myrtille pour aller avec les gauffres.»
«Euh... merci.» répondit Chjara, ne sachant pas trop quoi répondre.
«Mais non voyons, c'est normal. C'est pas tout les jours que mon resto accueille une telle célébrité.» s'exclama avec joie Berny avant de regagner ses fourneaux.
Chjara et Daniel se regardèrent, visiblement étonnés par les paroles du patron des lieux:
«Une célébrité?» souffla Chjara, surprise.
«Je vous avoue que je suis moi aussi dans le floue total. Visiblement votre passé et plus important que nous le pensions.» répondit Daniel

Le révérand Brandley s'installa à la table de la salle de réunion, que lui avait prêté le colonel Rabb et le docteur Fletcher. Il attendit que ses deux invités s'assoient en face de lui:
«Je suis content de vous voir ma fille. Je crois que c'est la première fois, depuis que je suis là, que nous avons l'occasion de nous rencontrer.» fit-il en direction de Sarah Harding
«Oui, en effet mon père.» lui souria-t-elle
«Mais... cet homme... c'est ton père?» interrogea alors Sacre Tillus en fronçant les sourcils
«Euh. Non, en fait, mon père c'est pas vraiment mon père, c'est juste... comment dire... une sorte d'expression. Tu comprend chéri?» Mais l'Animae n'avait pas l'air de saisir.
«Si vous voulez Sacre, nous pouvons nous entretenir sur...»
«Hmm, désolé mon père, le coupa Sarah, mais je préfèrerais que nous oublions les débats théologiques pour nous concentrer sur notre mariage.»
«Certe. Avez-vous faits votre baptème et votre communion?»
«Oui. Mais parents m'avaient envoyés dans une école catholique de Naïrobi.» répondit-elle
«Bien, c'est très bien. Et vous Sacre?»
«Je crois que les Animae ne connaissent pas trops ça.» fit Sarah en direction du prêtre
«En effet, j'oublie souvent que je suis dans un autre galaxie, à prêcher la parole de Dieu à des... extraterrestres.» soupira le révérend
«Sinon, pour la cérémonie, vous faites aussi, dans votre religion, les sacrifices rituelles?» interrogea alors Sacre.
«Pardon, de quoi vous parlez?» fit Bradley
«Et bien voyez-vous, dans mon peuple, à la fin de la cérémonie, avant le banquet, nous égorgeons un zébus. Chaques convives en prend une part, et nous mélangeons le sang avec du lait et de l'urine pour faire une boisson rituelle.»
«Hmm, tout à fait charmant, fit avec une grimace le révérend, je crois que nous nous passerons de ça.»
«Pourquoi? S'inquiéta Sacre, vous ne faites pas de sacrifices chez vous?»
«Et bien disons, que dans notre religion, nous avons ce que nous appellons l'osti. C'est une représentation spirituelle du corps du Christ, tirée de la Cène.»
«Hein?! Vous êtes entrains de me dire que vous mangez une partie de votre dieu? Vous êtes des cannibales.» sursauta l'Animae
«Non, non, voyons. C'est juste une représentation spirituelle. Ce n'est pas réellement son corps...»
«Au fait révérend, les coupa Sarah pour ramener la discussion sur le bon sujet, je vous rappelle que la cérémonie aura lieu en plein air, sur la planète natale de Sacre.»
«Bien, j'espérons que le beau temps sera au rendez-vous.»
«Je l'espère moi aussi. Sinon, concernant mon arrivée, étant donné que mon père est mort, se sera Daniel Wesley, directeur du Wildlife Lake Zoo en Lousiane, qui m'accompagnera jusqu'à l'autel. C'était un ami de mon père, il est, pour moi, en quelque sorte mon parrain.»
«D'accord, aucun soucis. J'ai déjà la liste de vos demoiselles et garçons d'honneur. Si je me souviens bien, les membres du clan de Sacre joueront des rythmes tribals traditionnels mais avec quand même la marche nuptiale. Puis la cérémonie continura sur Atlantis, si je me souviens bien.»
«En effet, mon père.»
«Je peux vous posez une question?» demanda alors Sacre
«Oui, allez si.» l'invita le révérend.
«Et bien, j'aimerais savoir, les autres mariages se passeront aussi comme ça?»
«Comment ça: les autres mariages?» interrogea le prêtre
«Oui, chez nous, les hommes ont droit à plusieurs femmes, et je me demandais si nous devions refaire à chaque fois cette même cérémonie.»
«Attend, fit Sarah, c'est quoi cette histoire de polygamie? C'est nouveau ça?»
«Euh, je croyais que tu étais au courant de nos traditions...» risqua l'Animae
«Non, non, non mon grand. Ta seule et unique femme sera moi. On rediscutera de ça se soir, en privé, pour l'instant, j'ais d'autres affaires à régler avant le jour J.» fit Sarah en se levant.

Chjara Shiva et Daniel Jackson étaient toujours assis à la table du petit restaurant. Après une petite attente, Oma Desala, habillait en serveuse, arriva avec leur commande:
«Alors un jus d'orange pour vous, fit-elle en posant le verre devant Chjara, et un café et des gauffres pour mon petit Daniel.» rajouta-t-elle avec un petit sourire à l'archéologue.
«Euh... Oma, pourriez-vous vous s'assoir, j'aimerais que nous discutions.» demanda alors l'Artélienne.
«Désolé, mais j'ai encore du service à faire.» répondit-elle avec un sourire
«S'il vous plait.» renchérit Daniel. Oma hésita un moment avant de retirer son tablier:
«Berny, je prend une petite pause.» fit-elle en direction du patron des lieux, avant de s'assoir à côté de Chjara.
«Que puis-je faire pour vous alors?»
«Eh bien nous aimerions savoir ce que vous savez sur moi.» demanda l'Artélienne
«Je suis désolé, mais je ne vous serez pas d'une grande aide sur ce sujet. Nul autre personne ne vous connait mieux que vous même.»
«Oma, fit Daniel, si nous arrêtions les métaphores et autres paraboles pour un moment. Si nous vous avons contacté, c'est pour avoir des réponses.» Oma lança un regard réprobateur à Daniel, lui faisant comprendre qu'il n'avait pas à employer un tel ton avec elle. Puis elle se tourna vers Chjara:
«Si vous voulez vraiment en savoir plus, c'est pas à moi qu'il faut s'adresser.»
«Alors à qui? A eux peut-être?» interrogea Chjara en portant un regard vers les autres clients
«Non, la majorité ne vous connaisse que de réputation... Si vous voulez rencontrer quelqu'un capable de répondre à toutes vos interrogations, je vous conseille de prendre cette porte.» fit Oma en montrant la porte d'entrée du restaurant.
«Mais, cette porte ne nous renverrait-elle pas sur notre plan d'existence?» risqua Daniel
«C'est le cas pour toi, lui répondit Oma, mais pas pour elle. Contrairement à toi, elle a fait l'Ascencion.» Chjara regarda la porte que lui avait montré Oma Desala
«... Daniel, je vais prendre l'air. Vous restez là?» fit-elle alors en se levant et en se tournant vers l'archéologue. Il asquièça d'un signe de la tête.
Chjara se dirigea vers la porte et posa sa main sur la poignée. Elle ressentit en elle une petite montée d'adrénaline au moment ou elle tourna la poignée. La porte s'ouvrit, et Chjara fut l'instant d'un moment ébloui par une vive lumière pure. L'Artélienne franchit le seuil du restaurant en refermant la porte derrière elle...

Chjara Shiva se retrouva dans une rue ressemblante à celles de New-York dans les années 1970. Les passants la dévisagèrent comme l'avaient faits les personnes du restaurant. Un groupe d'individu vint dans sa direction:
«Madame Shiva, pouvons-nous, s'il vous plait?» lui demandèrent-ils en lui montrant leurs appareils photos. Chjara fut surprise par leur demande:
«Euh... s'y vous voulez.» fit-elle, ne sachant pas trop quoi répondre. Ils firent donc leur photo puis remercièrent l'Artélienne pour la faveur qu'elle leur avait fait.
«Au fait, pourriez-vous me dire à qui je dois m'adresser... du moins la personne qui à le plus autorité ici?» questionna-t-elle
«Oui biensur. Vous pouvez allé voir à la mairie. C'est à dix minutes d'ici en taxi.» lui répondirent-ils. Et comme pour argumenter leur information, un taxi s'arrêta justement prêt de Chjara. Simple coïncidence? N'essayant pas d'y répondre, elle monta dans le taxi:
«A la mairie, s'il vous plait.» fit-elle. Le chauffeur asquièça. Quelques minutes plus tard, le taxi s'arrêta devant un grand édifice.
«Je suis désolé, mais je n'ais pas d'argent» fit Chjara au chauffeur.
«Aucun problème Madame, la course est pour moi.» souria-t-il. L'Artélienne descendie donc du taxi, se demandant pourquoi toutes ses personnes étaient-elles si aimable avec elle.
Elle monta les quelques marches du péron et poussa la porte de la mairie. Elle se dirigea vers le bureau de l'accueil. L'hôtesse d'accueil lui souria:
«Que puis-je faire pour vous?»
«Euh, j'aimerais parler au maire, si c'est possible.»
«Oui, biensur. Patientez un moment s'il vous plait, je vais le prévenir de votre visite.» fit-elle en décrochant son téléphone. Elle parla quelques minutes avant de racrocher:
«Si vous voulez bien prendre l'ascencseur jusqu'au dernier étage. Le maire vous attend dans son bureau.» Chjara asquièça et alla vers la cage d'ascenseur. Elle appuya sur le bouton du deuxime étage. Quelques secondes s'écoulèrent et les portes s'ouvrirent. Chjara avança dans un couloir vers l'unique porte. Elle frappa trois petits coups
«Entrez.» lui répondit-on. Elle ouvrit la porte et se retrouva dans un vaste bureau dont la baie vitré donnait vue sur la rue. Un homme d'un certain âge, assez rondelet, se tenait dans un bureau. Il se leva pour venir serrer la main de l'Artélienne.
«Je suis enchantai, Madame Shiva.»
«Merci, Monsieur.» répondit-elle alors qu'il l'invitait à s'assoir dans un fauteuil.
«Alors que puis-je faire pour votre service?» lui demanda-t-il
«Eh bien, je suis venu ici avec un ami afin de parler aux êtres qui ont fait l'Ascencion.»
«Vous en avez tout autour de vous, et même un en face de vous.» répondit le maire avec un petit sourire en coin.
«Vous voulez dire que tout les gens que j'ai croisé dans la rue, en plus de ceux du restaurants, sont des personnes ayant effectué l'Ascencion?» interrogea Chjara avec surprise
«En effet... mais quelque chose de vas pas?» lui demanda-t-il en voyant le trouble de l'Artélienne.
«Pour tout vous dires, c'est pas comme ça que je m'imaginai votre plan d'existence...»
«Je comprend. Et bien, en nous contactant par l'intermédiaire des souvenirs du docteur Daniel Jackson, vous le voyez tel qu'il l'imagine. Pour lui, ce restaurant représente des souvenirs agréables, il y allait souvent avec son grand-père pour déguster des gauffres... Mais si vous voulez, peut-être qued cela vous conviendra mieux.» souria le maire. C'est alors que le décor des années 70 se mit à disparaitre, pour être remplacer par un salon d''architecture Ancienne. Chjara se retourna vers le maire, mais celui-ci avait troqué son costard-cravate contre une toge beige:
«Bonjour Chjara, je suis Agamemnon.»

Chjara Shiva dévisagea le vieil homme qui se tenait devant elle. Il était assez rondelet et arboré une petite barbe blanche. Il se mouvait avec grâce dans sa toge beige, et un puissant charisme se dégageait de lui.
«Vous êtes qui réellement?» demanda-t-elle
«Je m'appelle Agamemnon. Pour certain, je suis le premier être vivant à avoir effectué l'Ascencion.» souria-t-il en l'invitant à s'assoir.
«Je... je ne comprend pas...»
«Eh bien, je suis un des premiers Anciens à avoir découvert que notre évolution pouvait aboutir à un nouveau plan d'existence. L'Ascencion est fondée sur la philosphie et la plénitude spirituelle. Certains d'entre les Anciens, à mon époque, cherchaient à atteindre Noesis, la Vérité, sorte d'apothéose essentielle qui ne peut être obtenue que par la maîtrise totale de leurs sentiments et la communion avec toutes les forces de l'univers. L'Ascencion est un idéal que peu d'individus réussissent à atteindre: ceux qui y sont parvenus sont appelés Noesäll, ou Noesiens.... Malheureusement pour moi, je mourut brutalement avant d'avoir pu écricre les derniers chapitres de mon Enseignement. La tradition exige que chaque aspirant à l'Ascencion écrive lui-même, dans le plus grand secret, les chapitres manquants de mon Enseignement. Ceux qui parviennent ainsi à l'élévation de l'âme détruisent leur oeuvre, tandis que les autres doivent continuer la leur... ou la recommencer.»
«Alors comment... comment le docteur Jackson et moi, avons-nous pus faire notre Ascencion?» interrogea Chjara, essyant d'assimiler tout ce que venait de lui dire Agamemnon.
«Certains des membres de notre communauté, ressentent en eux une nostalgie de leur vie d'antan. Ils passent donc leur temps à scruter votre plan d'existence. Il leur arrive d'être prit d'affection pour un individu, comme le fut Oma Desala pour Daniel, et les jugeant digne d'atteindre Noësis, leur propose de faire l'Ascencion. Mais quant à toi, Chjara, ton histoire est bien différente.»
«Je sais, grace à ma mère Perenna, que je suis un être élevé depuis ma naissance. Mais même en ayant atteint ce plan d'excistence, qu'est Ascencion, il me manquait quelque chose: l'expérience et la maturité que seule l'existence physique offre. Elle m'a dit que c'était Télémaque et un certain Agamemnon qui décidèrent de me faire renaitre, mais cette fois-ci dans le plan physqiue, afin que je puisses connaître la vie réelle... Alors c'est vous, cet Agamemnon dont elle m'a parlait?»
«Oui, souria-t-il, lorsque tu as accomplit l'Ascencion, tu n'était encore qu'un foetus, il te restait encore un mois pour naitre, mais comment naitre sans être dans le ventre d'une mère? Les êtres élevés se réunirent tous, et nous avons finis par décider de t'élever. Tu étais un être exceptionnel, unique, car tu n'avais pas atteint l'Ascencion par un apprentissage, mais tu étais née en ayant déjà accomplit l'Ascencion. Dès ta naissance, tout les secrets de cette existence astrale te furent dévoilées, tandis que certain avait dût attendre toute leur vie pour pouvoir atteindre un niveau égalant le tien. Le temps n'a pas d'emprise sur l'Ascencion, et pendant que l'univers voyait passé dix mille ans, tu ne faisait qu'un avec l'Ascencion. Mais ton importance, au sein de notre communauté, provoqua quelques jalousies entre nos frères. Certains d'entre eux ne te considéraient pas comme un être élevé, pour eux, c'était une infraction à nos règles, bien qu'un tel cas ne se soit jamais produit. Pour eux, tu ne méritais pas d'avoir accès à la Noësis car tu ne l'avais pas recherché. Alors, sur les conseils de Télémaque, j'ai tranché le problème: nous nous sommes mis d'accord pour te renvoyer sur le plan d'existence des humains, afin que tu puisses apprendre les plaisirs et les douleurs de ce monde, une sorte de rite initiatique.»
«Et alors, ce... rite initiatique, est-ce que je l'ai réussi?» demanda Chjara, avec hésitation
«Non.»


PUBLICITES (lol)

Sarah se trouvait debout dans ses quartiers, elle regardait sa robe de mariée qui était posée devant elle, sur son lit. Elle était nerveuse car sa jambe gauche était prise d’un tic nerveux. Soudain la sonnerie de la porte se fit entendre, la faissant sortir de ses pensées. Elle alla voir qui était derrière la porte.
«Ah Elizabeth.» souria-t-elle
«Bonjour Sarah…» Répondit le Docteur Weir en lui rendant son sourire
«Je m’excuse de mon retard mais le Docteur McKay s’est un peu étendu lors du briefing avec son équipe.»
«Ce n’est pas grave, je comprends, Rodney peut être gavant quand il s'y met. Je dirais même qu'il est pire que Quentin quand il commence à parler.» fit Sarah en l'invitant à l'intérieur. Elizabeth se dirigea vers le lit pour voir cette fameuse robe de mariée:
«Elle est belle.» fit Weir
«Oui... est chère aussi. Heureusement que le SGC couvre une partie de nos dépenses.» répondit avec un sourire Sarah.
Avec l' aide d'Elizabeth, elle enfila sa robe, mais avec quelques difficultés:
«Eh bien, c'est chiant à passer.» maugréa Sarah
«Oui. Heureusement que vous n'aurez qu'à la mettre une seule fois dans votre vie.»
«C'est sur, car je me vois mal me trimballer avec ça tout les jours. Vous m'imaginez en mission, me promener avec une grande traine. Je pense même que les Wraiths se foutraient de moi.» se mit à rire Sarah.
«Au fait j'espère que Sacre n'a pas encore vu la robe. Vous savez, ça porte malheur, à ce que l'on dit.» fit Elizabeth
«Oui. De toute façon quand je lui ais juste dit le prix de la robe, il a faillit en tomber à la renverse. Il trouve énorme de mettre un tel prix dans une robe que je mettrais qu'une fois.»
«C'est compréhensible. Mais bon, vous avez quand même le droit de vous faire plaisir.»
Sarah se contempla dans le miroir en face d'elle. Elle se prenait pour une princesse de Walt Disney. Une vive euphorie s'emparra d'elle. Mais elle se calma vite, en se sentant comme étouffé:
«Qu'y-a-t-il?» demande, inquiète, Elizabeth
«Je... je me sens pas bien là... sans doute le corsé qui est trop serré.» balbutia Sarah. Elle sentit son estomac se contorcionner. Elle se précipita vers les toilettes de la chambre. Elizabeth l'entendit vomir. Elle alla la soutenir:
«Nous devrions allé à l'infirmerie.» fit-elle en aidant son amie à se relever.

Le docteur Daniel Jackson avait fini ses gauffres depuis un moment. Il se demandait ce que Chjara pouvait bien faire pendnat ce temps. Les aiguilles de sa montre indiquaient qu'elle était partie depuis plus d'une heure. Mais, est-ce que dans ce plan d'existence, la notion de temps était-elle la même que sur le notre? Tandis qu'il réfléchissait à ce problème, Oma Dessala vint débarasser sa table:
«Je peux vous poser quelques questions?» demanda-t-il à Oma
«Oui, bien entendue.» lui souria-t-elle en s''asseyant en face de lui.
«J'ai besoin de réponses. Je ne comprend pas trop, la situation de Chjara , n'est-elle pas contraire à vos lois? Je croyais qu'intervenir dans notre plan vous étez interdit.»
«En effet. Mais Chjara Shiva est un cas particulier.»
«Pourquoi? Qu'a-t-elle de si particulier pour que vous lui laissiez autant de liberté? Chaque fois que des votres est venue nous aider, vous l'avez punie: Merlin et Morgane la fée, ont été puni pour avoir essayer de nous aider contre la menace des Oris. Ce n'est pas que j'ai quelquechose contre Chjara, bien au contraire, mais j'aimerais savoir pourquoi elle a droit à votre bienvaillance?»
«Comme je te l'ais dit, elle est un cas particulier. Contrairement à Merlin et Morgane, qui ont dûts apprendre à faire l'Ascencion, Chjara n'a pas eux besoin de cet apprentissage. C'est pour cela que nous l'avons renvoyés sur votre plan d'existence, pour qu'elle passe une sorte de rite initiatique.»
«Un rite intiatique...?»

«... Comment ça? Vous êtes entrain de me dire que j'ai raté votre espèce de rite?» fit Chjara. Agamemnon la regarda d'un air grave.
«Non. Car avant de savoir si tu as réussi ou non, il te faudra d'abord passer une ultime épreuve.»
«Et quoi comme épreuve?»
«Pour l'instant, tu as appris ce qu'est d'être humain. Les joies et les peines, la perte d'être cher, l'amour, la colère... toute ces choses qui font que les humains sont si uniquent. Mais il te faut maintenant apprendre pourquoi nos règles ont été établis.»
«Vos règles? Comme celle de ne pas intervenir dans la vie des autres plans d'excistence?»
«Oui, en effet. Je sais que pour toi, tout comme le docteur Jackson, cette règle que nous nous imposons vous parez irresponsable. Pour vous, les êtres supérieurs que nous sommes se doivent de vous aider, mais les choses ne sont pas aussi simples que vous le pensez.»
«Alors expliquez moi, que je puisse vous comprendre.» fit Chjara
«Je vais faire mieux que ça.» répondit Agamemnon en ouvrant sa main. Une vive lueur s'en échappa et se dirigea vers l'Artélienne...

Sarah et Elizabeth arrivèrent dans la tour du Caducée: le centre hospitalier d'Ithaque. Mais pour le moment, l'équipe du docteur Jivana Raksha avait juste établi leurs cabinets dans le dernier étage de la tour. Il leur restait encore du travail afin de découvrir et de comprendre tout les appareils médicaux laissés par les Anciens. Lorsque Sarah et Elizabeth se présentèrent à l'infirmière d'accueil, le docteur Raksha finissait de s'occuper de l'équipe du Major Steven Dell. Celle-ci, lors de leur dernière mission sur B01-236, la planète la plus proche du soleil du système de Bélérophon, n'avait pas pensé à prendre leur crème de protection-solaire. La proximité de l'astre solaire leur avait laissé de vilains coups de soleil.
«Que puis-je faire pour vous?» demanda la jeune médecin hindoue en s'approchant d'Elizabeth, visiblement surprise de voir Sarah en robe de mariée.
«Elle a des vomissements.» expliqua rapidement Weir.
«Bien, nous allons voir ça... mais on va d'abord retirer cette robe.» souri Jivana en se tournant vers Sarah. Après l'avoir soulagé de sa tenue, Weir et Jivana l'installèrent sur un lit d'hopital, et le docteur commença son examen.
«Alors que ressentez-vous exactement?» demanda-t-elle à Sarah.
«Je... je me s'en pas bien... j'ai de la naussée...”
«Bien, je pense savoir ce qui vous arrive. Mais on va d'abord s'en assurer.» fit Jivana. Elle alla chercher un plateau avec une seringue posée dessus et s’assit sur une chaise face à Sarah :
«Je vais vous faire une prise de sang... Nous serons fixé d’ici 24 heures.»
Sarah la regarda:
«Merci docteur.»

Chjara Shiva se retrouva sur une planète, au coeur d'une forêt, seule
«Agamemnon, vous êtes là?» héla-t-elle, mais sans aucune réponse. Elle décida alors sortir des bois, et arriva bientôt en vue d'une ville. Elle s'y dirigea et fût accueilli par des villageois qui se montrèrent sympathiques et chaleureux. Mais l'ambiance tourna aussitôt au chaos. Cinqs vaisseaux ruches Wraiths pénétrèrent dans le ciel de la petite planète. Leurs ombres titanesque plongeant la ville en dessous dans une pénombre de ténébres. Les portes des hangars s'ouvrirent, laissant s'envoler une centaines de Dart.
«Oh non, pas ça.» fit Chjara tandis que les habitants couraient dans les rues, cherchant un endroit où se cacher, la peur au ventre. Les Darts commençèrent leurs rafles mortelles. La jeune Artélienne se mit elle aussi à courir, et suivit un groupe de personne qui trouvèrent refuge dans une maison en pierre. Mais au moment où elle allait y rentrer à son tour, une écoutille d'un des vaisseaux ruches s'ouvrit lentement, parcourut par des éclairs d'énergie. Chjara regarda l'engin, il semblait que les Wraiths allaient passé un cran au dessus. Le faisceau à particule s'enclencha et s'abattit en plein sur la bâtisse, dans un sifflement aigus. La maison explosa, propulsant des gravas à plusieurs mêtres à la ronde. Le souffle de l'explosion souleva Chjara et la balaya. Son corps percuta violament un mur, mais prenant sur la douleur, elle se releva. Mais elle tituba, son esprit captan t alors toutes les émotions de peur et de terreur tout autour d'elle. Elle essaya de calmer son don d'empathie, mais le flot était trop puissant. Chjara resentit les cris de désespoir, mais aussi les derniers râles d'agonies des victimes prit dans les débris de l'explosion. C'est alors qu'elle capta les pensées d'un groupe d'enfants qui fuyaient devant le faisceau téléporteur d'un Dart.
«Non!» hurla-t-elle, en tendant sa main vers l'engin comme pour le stopper. Un rayon de lumière s'échappa alors de la paume de sa main, et se dirigea en plein sur le Dart, traversant de part en part le vaisseau, qui explosa.
«Je ne vous laisserez pas faire.» explosa-t-elle en dirigea son regard vers un groupe de Dart qui volaient au dessus de sa tête. Dans les cockpits, les pilotes perdirent le contrôle de leur vaisseau, tandis que Chjara les propulsait les uns contres les autres par télékinésie, les détruisant tous. Voyant cela, les Wraiths changèrent leur plan. Ils décidèrent d'attaquer cette femme qui les détruisaient si facilement. Un escadron de guerriers fût téléporté à la surface de la planète, juste devant Chjara. Ils tirèrent à l'unisson, mais la jeune femme se protégea derrière un bouclier télékinésique.
«Allez en enfer.» jura-t-elle à leur encontre. Une puissante énergie parcourue le corps de Chjara, une énergie étrange mais qui lui semblait faire parti d'elle depuis l'aube des temps. Des éclairs se formèrent autour de ses mains et se précipitèrent vers les Wraiths. Leurs corps furent parcouruent de spasmes tandis que le courant électrique déclenché par Chjara les balayés. Une fois que les éclairs se furent dissiper, les corps calcinés des Wraiths tombèrent à terre. Mais avant que l'Artélienne puisse s'avoirer cette victoire, le vaisseau ruche la verrouilla comme cible. Le faisceau de particule percuta le sol de la planète avec violence, rasant toutes les structures alentours. Il creusa de plus en plus un cratère dans la terre, mais Chjara était toujour en vie. Se concentrant, elle renvoya tout le flux d'énergie vers le vaisseau ruches, qui explosa dans le ciel, l'illuminant. Devant un tel carnage, les autres vaisseaux ruches décidèrent de quitter la bataille, et sortirent de l'atmosphère de la planète.
«Non, vous ne vous en sortire pas aussi facilement.» s'exclama Chjara, en qui les cris des victimes résonnaient encore dans sa tête. Elle laissa toute la puissance, qui était en elle, éclaté. Sa peau se craquella, comme s'y elle muée, libérant une vive lumière. La jeune femme se transforma en être de pure énergie et s'envola dans le ciel. Elle traversa l'atmosphère de la planète et se retrouva dans le vide spatial, juste devant les quatres vaisseaux ruches.
«Ils braquent leurs canons sur moi... et je n'ai aucun moyen de me défendre contre un tel déluge. A moins que... je puisse agir sur les éléments cosmiques. Si j'arrive à capter les vents solaires...» Chjara se concentra, resentant en elle toutes les énergies cosmiques, tandis que les vaisseaux ruches la verrouiller comme cible:
«Oui!» s'exclama-t-elle en sentant qu'elle réussisait à plier à sa volonté les vents stellaires.
«Vous pensiez m'abattre facilement, et vous l'auriez fait sans hésiter! Recevez donc le sort que vous mérités, Wraiths!» hurla-t-elle en libérant sont pouvoir. Un vent de force 12 se leva en plein cosmos, accru par des tempêtes solaires, et balaya les vaisseaux. Des pans entiers de carlinques furent arrachés sous l'assaut des rafales. Les ruches furent détruitent, sauf une dont les boucliers réussirent à tenir. L'engin riposta, mais Chjara n'en avait cûre. D'un rever de la main, l'être élevé dissipa les faiscaux d'énergie:
«Vous commencez à m'énerver! Disparaisez!» lâcha l'Artélienne. D'une seule pensée, elle fit disparaître le dernier vaisseau dans une vive lueur lumineuse...

Le docteur Jivana Raksha se dirigea vers le lit d'hopîtal qu'occupé Sarah Harding, à côté duquel se tenait Elizabeth Weir.
«Eh bien toutes mes féliciatations. Vous êtes enceinte!» souri la jeune hindoue. Le visage de Sarah s'illumina à l'annonce de la nouvelle. Elle laissa échapper sa joie sous forme de larmes de bonheur. Elizabeth la serra dans ses bras, heureuse pour son amie.
«Je... je suis si.... si heureuse.» balbutia Sarah.
«Et moi donc, je suis contente pour vous. En tout cas j'en connais un qui va en sauter au plafond.» souri Elizabeth en pensant à Sacre.
«Oh que oui... depuis que nous attendions ce moment... n'est-ce pas Mérono ?» fit d'une douce voix Sarah en posant sa main sur son ventre.

... La ruche Wraiths réapparue en plein coeur du soleil Eonia. Cet astre fait un million six cent mille kilomêtre de diamètre... température en surface, 6000°C... au centre, 2000 fois plus, soit 14 millions de degrés! Cette étoile est programmée pour vivre encore six milliards d'années, mais malheureusement pour elle, la mort vint l'appeller plutôt que prévu. Sous la température infernale, le vaisseau ruche explose, provoquant une onde de choc qui se propagea à travers tout le soleil, le faissant exploser à son tour. Onze planètes gravitent autour de lui. La 4ème est habitée par une civilisation antique et pacifiste. Dix minutes après la mort de l'astre assasiné, sur sa face éclairée, l'on voit l'horrible lumière d'armageddon envahir le ciel d'un horizon à l'autre. Ceux qui aperçoivent cette clarté, leur dernière vision en cette vie, cèdent à la terreur. Quelques-uns comprennent aussitôt... Ils ont le temps de maudire le destin ou de se recommander à leur dieux. Puis tous meurent. Dans le sillage de la lumière... à une allure comparativement modeste... la vague de chaleur déferle. Les océans entrent aussitôt en ébullition, la vapeur et l'aitr incandescent tourbillonent autour du globe, créant une onde de choc qui anéantit tout sur son passage. A ceux qui veillent sur la face obscure, le rare spectacle d'une somptueuse aurore boréale est accordé in extremis. Les plus chanceux meurent dans leur sommeil.

Chjara ferma les yeux et hurla de tout son être alors que la planète explosait, avant de s'évaporer. Lorsqu'elle reouvrit se spaupières, Agamemnon se tenait devant elle:
«Vous?!... Est la planète, l'attaque Wraiths... c'était un rêve?»
«Non mon enfant, hélas c'était la triste vérité.»
«Alors... tous ces gens sont morts? Cette planète et tout son système solaire a été balayé?»
«Oui. Tout cela à cause de toi.» lui répondit Agamemnon d'une voix grave.
«Quoi?... comment!»s'exclama Chjara
«Maintenant tu dois mieux comprendre pourquoi nous autres essayons de ne pas utiliser nos pouvoirs pour aider les autres plans d'exisctences.»
«Je ne comprend pas.»
«L'Ascencion accorde des pouvoirs immenses. Mais chaque chose à son prix., à un équilibre à respecter. Si lors de l'Ascencion, nos corps s'élève vers un autre plan d'existence, c'est qu'il y a une raison. Les autres plans ne peuvent supporter de telles puissances, sans en être modifié d'une façon ou d'une autre.»
«Vous voulez dire que nos pouvoirs peuvent bouleverser l'équilibre des autres plans d'exisctences?» interrogea Chjara.
«En effet certains plans ne peuvent physiquement supporter de telles puissances, sans en subir des déséquilibres. Lorsque tu as voulu repousser cette flotte Wraiths, tu as, accidentellement, téléporté le dernier vaisseau en plein dans le soleil, qui a explosé, entrainant la destruction de tout ce système solaire.»
«Ô mon dieu... qu'ais-je fait.»
«Je pense que tu as compris pourquoi nous n'intervenons pas dans les autres plans. Notre puissance pourraient aider les hommes, mais elle engendrerait de terribles altérations.»
«A grand pouvoir, de grandes responsabilités.»
«Oui, tu as compris. Je comprend parfaitement que certains humains nous dénigrent, mais croyez-nous, nous sommes les premiers à maudire notre incapacités à vous venir en aide.» murmura Agamemnon en posant une main sur la joue de Chjara, dans un geste paternel.
«Bien... maintenant tu dois faire ton choix: souhaites-tu nous rejoindre ou préfères-tu rester auprès des humains?» fit-il en plongeant son regard dans celui de l'Artélienne.

La porte du servie hospitalier d'Ithaque s'ouvrit, laissant entrer Sacre Tillus qui se précipita vers le lit de Sarah. Il la serra dans ses bras:
«Doucement, tu m'étouffe.» articula la jeune femme en le repoussant
«Désole... mais je suis tellement heureux. Elizabeth m'a apprit la bonne nouvelle.» souria-t-il en l'embrassant.
«Je vais être papa! Je vais être papa!» s'exlama de joie l'Animae

Daniel Jackson avait reprit une tasse de café lorsque la porte du restaurant s'ouvrit. Chjara Shiva entra dans la salle et se dirigea vers lui:
«Alors, comment ça c'est passé?» lui demanda-t-il en se levant
«Bien. Aujourd'hui, j'ai appris pas mal de choses importantes.»
«Vous lui avez parlé?» interrogea alors Oma Desala en se tournant vers l'Artélienne
«Oui, je lui ais parlé.»
«Et qu'elle est votre décision?»
«La meilleure que je puisse prendre.»
«C'est à dire?» ridqua Daniel, perdant un peu le fil de la conversation entre les deux femmes. Avant de lui répondre, Chjara prit sa tasse et but une gorgée de café.
«Je vous expliquerez plutard Daniel. Pour le moment, ça vous dérange si l'on rentre maintenat?»
«Non, non.»
«Bien, fit-elle avant de se retourner vers Oma, j'ais été heureuse de vous renconter. J'espère que l'on aura le plaisir de se revoir.»
«Oui, je pense que ça ne manquera pas.» souria Oma tandis que Chjara et Daniel se dirigèrent vers la sortie. Ils ouvrirent la porte et disparurent dans un flot de lumière.


FIN DE L'EPISODE.