StarGate Odyssée
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Une Nouvelle Cité, Une Nouvelle Odyssée
 
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Quentin Corrigan
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Quentin Corrigan


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MessageSujet: 1x12 20.000 Lieux sous les Mers   1x12 20.000 Lieux sous les Mers EmptyLun 19 Mar - 15:01

Stargate Atlantis
Odyssée



20.000 Lieux sous les mers

"Imaginez un Grand Requin blanc, de quinze à dix huit mêtres, pesant près de vintg tonnes. Est-ce que vous arrivez à vous représenter cela?Moi-même, de temps en temps, j'ai du mal, mais ce monstre existe réellement. Sa tête à elle seule est probablemeent aussi grande qu'un Jumpers. Ses mâchoires peuvent engloutir et avaler quatre hommes d'un seulcoup. Et je ne vous ai pas parlé de ses dents: aiguisées comme des lames de rasoirs, aussi tranchantes qu'un couteau à viande et mesurant de dix-huit à vingt-deux centimètres."
"Les huits organes sensoriels du Mégalodon lui permette de rechercher, dépister, identifier et traquer sa proie. Commençons par l'organe le plus stupéfiant: l'ampoule de Lorenzini. A l'extrémité du museau du Mégalodon, sous la peau, de minuscules électrorécepteurs, délicats canaux pleins de gelée, sont capables de détecter les décharges électriques dans l'eau. Je vais expliquer cela plus clairement. Le Mégalodon peut repérer les vibrations des muscles de ses proies et leurs battements de coeur à des kilomêtres à la ronde".
"L'odorat du Mégalodon est presque aussi étonnant que l'ampoule de Lorenzini. Contrairement à l'homme, cette créature posséde des narines directionnelles qui pouvent à la fois détecter une goutte de sang, de sueur ou d'urine dans des mètres cubes d'eau et déterminer d'où vient l'odeur. C'est pour cette raison qu'il nage en remuant la tête de droite à gauche. En fait, il renifle dans toutes les directions. Les narines d'un Mégalodon adultes sont probableme,nt de la taille d'un pamplemousse."
"Sur la peau du monstre, des cellules sensorielles appelées neuromast permettent à l'animal de détecter la plus légère vibration dans l'eau, même celle du battement de coeur d'un petit poisson. La plupart des cellules sont disposées dans des sillons et des canaux qui forment la ligne latérale, qui s'éttire sur le flanc de l'animal, et se ramifient sur la tête." Thétis, océanographe d'Atlantis.

Le docteur Sarah Harding, l'ArtélienneChjara Shiva, l'Animae Sacre Tillus et le docteur Quentin Corrigan avaient repris leur odyssée, à la recherche des glyphes de coordonnées de la Porte des Etoiles d'Ithaque. Sur le shuits glyphes, ils en avaient déjà retrouvés tois: ceux de Perenna, Priape et Phaethon. Lors objectif présent était le glyphe de Thétis. L'Ancienne était décédée le 16/02 de l'an Libra, sur la planète Belize
L'Odysséum pénétra dans l'atmosphère de Belize et la traversa sans encombre. C'est alors que Sarah, Chjara, Sacre et Quentin découvrirent le spectacle unique de la planète: un océan aux eaux turquoises s'étendant à l'infinit.
«Il n'y a que de l'eau?» demanda alors Sacre
«Oui. Cette planète est recouverte à cent pur cent d'océan.» répondit Quentin en scannant la surface de Belize avec le scanners à longues portées du vaisseau.
«Ce qui veut dire que le glyphe de Thétiset sous l'eau» expliqua Sarah
«Alors comment faisons-nous pour aller le chercher?» risqua Chjara.


GENERIQUE

Sacre, Chjara et Sacre regardaient la surface miroitante de l'océan qui reflétait le soleil. Pendant ce temps, Quentin pianotait frénétiquement sur les touches d'une des consoles de la salle de pilotage, essayant de trouver un moyen pour aller explorer le fond sous-marins de la planète.
«J'ais trouvé!» fit Quentin en appellant les autres.
«Thétis était une océanographe d'Atlantis. En a croire les notes de Télémaque, c'était la meilleure de toute la race des Anciens. Il a donc conçut l'Odysséum en fonction des éventuelles missions sous-marines qu'il souhaitait mener grâce à l'aide de Thétis. Il a rendut son vaisseaux complètement amphibie.» expliqua-t-il
«Comment ça amphibie? Vous voulez dire que l'Odysséum peut...» risqua Sarah
«Oui, l'Odysséum peut à la fois voler dans l'imencité de l'espace mais aussi évolué dans un milieu aquatique comme un parfait submersible.»
«Incroyable!» laissa échapper Sarah, heureuse de la découverte de son coéquipiers.
«Oui. Les deux Jumpers ont également étaient conçus dans le même but. Il y a même des combinaisons spécialement conçus pour la plonger» fit-il en montrant sur un écran la vidéo d'une pièce contenant neufs conbinaisons avec des casques arborant deux torches sur le dessus et un petit boitier contenant de l'oxygène derrière.
«Alors nous pouvons allre explorer cette planète?» demanda Sacre
«Oui. Je prend juste le temps de chercher les commandes adéquate et nous pourrons plonger dans l'océan» fit Quentin.
Une fois le système mit en place, Quentin fit pénétrer l'Odysséum dans l'eau, soulevant d'énorme vague. Puis la surface se referma sur le vaisseau tandis qu'il continuait sa descante.
«Comment va-t-on trouver le glyphe à traver toute cette flotte?» demanda alors Chjara en possant son regard vers Sarah.
«Nous allons déjà utiliser un balayage scanners pour pouvoir visualiser la topographie du fond. Peut-être y a-t-il des grottes sous-marine où Télémaque aurait put cacher le glyphe.» lui expliqua Sarah tandis qu'elle enclenchait les projecteurs externes pour éclairer l'océan.
Ils découvrirent alors un monde fascinant dans ce monde du silence: un grand groupe de baleines étaient entrains de nager:
«Se sont des baleines à bosses» fit Sarah en admirant les énormes cétacés. Elle les connaissait bien, elle avait étudié leurs comportements durant la migration pendant deux ans à l'institut d'océanographie de San Diego avant de se trouner vers le monde des prédateurs.

Les baleines passèrent leur chemin, s'effonçant dans l'océan et disparaissant à la vue des membres de l'Odysséum. Quentin reporta son regard sur les résultats des scanners:
«Il semble qu'il y ait une sorte de structure coralienne à même pas vingt mètres de nous et à deux cents mètres de profondeurs.» fit-il en direction de Sarah
«Allons-y. Même si on y trouve pas de glyphe, on aura droit à un magnifique spectacle.» répondti-elle. Quelques minutes plustard, ils arrivèrent devant un énorme dôme de corail d'au moins un kilomètre de diamètre. A certain endroit, des pans de coraux c'étaient effondrés, dévoilant à l'intérieur une multitude d'anémones, d'éponges, et de poissons multicolores.
Quentin fit s'engager l'Odysséum à travers une troué dans le dôme. L'intérieur du dôme était vraiment un monde à part. Des dauphins pénètrèrent à l'intérieur à la suite du vaisseau Ancien qu'ils saluèrent en remuant la tête.
C'est alors qu'ils le virent tous: là, encastré dans un pilier de corail maintenant le dôme. Sacre, Chjara, Quentin et Sarah apperçurent le glyphe de Thétis, le quatrième coordonnée de la Porte des Etoiles d'Ithaque.
L'Odysséum s'en approcha lentement. Sarah et Quentin réfléchissaient à un moyen de le récupérer. Peut-être pouvaient-ils tentés une sortie avec les combinaisons de plongée: c'était la meilleure et la plus simple des solutions.
Ils allaient le faire lorsque un radars se mit à émettre un bip continu:
«Qu'est-ce que c'est?» demanda Sacre
«Il y a quelque chose qui approche» répondit Quentin en se précipitant sur la console du radar dont les bips se faisiaent plus insistant.
«C'est quoi?» insista Sacre
«Je ne sais pas, mais c'est énorme. Ca va arriver par la» fit Quentin en montrant une trouée dans le dôme de corail.
«Eteignons les lumières» glissa Sarah

Les projecteurs de l'Odysséum s'éteignirent doucement, plongeant le vaisseau sous un immense voile d'obscurité.Sarah ne distinguait même plus sa propre main, elle la sentait trembler. Mais elle la garda à proximité de l'interrupteur des projecteurs.
La Chose arriva enfin à leur niveau. C'était une lueur pâle et indistincte qui nageait dans les ténèbres. Elle jaugeait sa proie, glissant lentement en direction de l'Odysséum.Sarah, Sacre, Quentin et Chjara sentirent leurs gorges se serrer.
Il n'y avait plus aucun doute. Ils découvraient maintenant le museau en forme de cône, l'épaisse tête triangulaire, la queue en croissant. Sarah estima au jugé que le requin mesurait facilement vingt mètres et calcula quil devait peser dans les vingt-deux tonnes. La peau de l'animal était blanche comme l'ivoire.
«Bon dieu! C'est quoi ce monstre?» s'exclama Quentin en voyant l'énorme créature
«C'est un... non impossible...» marmonna Sarah, paralysée de stupeur.
«C'est un quoi?» insista Chjara
«Un Carcharodon Mégalodon!» hoquetat sarah, n'en croyans pas ses yeux.
«Un quoi» demanda Quentin inquiet
«Un Mégalodon. C'est un requin qui sur Terre à disparut il y a des millions d'années. Mais il semble que sur Belize il est encore dans la chaîne alimentaire.» expliqua Sarah.
Les premiers bruits furent captés par le canal latéral du Mégalodon en quelques secondes. Très vite, les ondes stridentes du radars l'énervèrent et il devint enragée. Comment? Une créature inconnue osait lui lancer un défi? Il ne put résister et fonça sur l'Odysséum.
Avec ses quatres mille tonnes, l'Odysséum l'emportait largement. Mais le Mégalodon pouvait nager et changer de trajectoire plus vite que son adversaire. Deplus, aucun Mégalodon n'aurait accepté de se voir lancer un défi sans le relever. En approchant du bateau par en dessous, le monstre enragé accéléra brutalement et fonça dans la coque d'acier avec la force d'une locomotive.
«Préparez-vous au choc!» hurla Quentin. L'Odysséum fut secoué come une coque de noix.
«Quels sont les dommages?» demanda Chjara en se relevant
«Il a percutait le vaisseau au niveau de la salle de drones. Plus moyen de pouvoirs les armées, les circuits sont détruits. On ne pourra pas riposter.» expliqua Quentin.
Le Mégalodon décrivait des cercles autour de son ennemi. Il remua la tête. Dans la collision, il s'était blessé le museau et cassé plusieurs dents, mais elles ne tarderaient pas à être remplacées par celles qui poussaient en dessous. Dans sa fureur, il donna un coup de sa nageoire caudale dans le pilier où se trouvait le glyphe. Le corail vola en éclat. Croyant que c'était de la nourriture, le Mégalodon abandonna sa proie pour les avaler, gobant par la même occasion le glyphe.
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Quentin Corrigan
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MessageSujet: Re: 1x12 20.000 Lieux sous les Mers   1x12 20.000 Lieux sous les Mers EmptyLun 19 Mar - 15:01

Sarah, Quentin, Chjara et sacre avaient assistés à la scène:
«Euh... on fazit comment maintenant pour récuperer le glyphe?» risqua Chjara
«Je pense que l'on peut pas se permettre d'attendre qu'il l'évacu. Il faut le récupérer » fit Sarah
«Euh... comment? Vous croyez que si on lui demande poliment de le recracher il va le faire comme un brave toutotu?» la narqua Quentin.
«C'est quoi?» demanda alors Sarah qui était penchée sur la console des vidéos de l'Odysséum. Quentin regarda à son tour:
«C'est une capsule de survie» fit Quentin
«Alors j'ais une idée.» s'exclama Sarah
Quentin, Sacre et Chjara pénétrèrent dans la salle où était alligné quatres capsules de survie. Chacune mesuraient trois mètres cinquante sur un mètre vingt et ressemblaient à des torpilles. Elles étaient consitutée de la capsule en elle même et de la queue qui comprenait la trappe d'accès et le réacteur propulsant l'engin.
Sarah pénétra à son tour dans la salle, revêrtut d'une des combinaison de plongée.
«Vous comptez faire quoi au juste?» demanda inquiête Chjara
«Faire une petite visite médicale à notre cher ami.» répondit Sarah avec un sourire
«Encore une solution suicide?» lui railla Quentin. Mais Sarah ne lui répondit pas
«Elles peuvent être controlées manuellement?» demanda-t-elle à Corrigan.
«Oui. Cela permet de controler la trajectoire.»
«D'accord.» répondit-elle en ouvrant la trappe. Sacre lui tandis alors une de ses dagues que Sarah prit avec un sourire. Elle s'intallant dans la capsule:
«larguez moi!» fit-elle à Quentin alors qu'il refermait la trappe et enclenché l'évacuation de la capsule de survie. L'Odysséum cracha la capsule dans un grand jet de bulle.
«Que va-t-elle faire?» risqua Chjara
«Je crainds le pire» répondit Quentin en se mordant les lèvres. Les paroles de Corrigna se confirmèrent, ils purent voir alors la capsule de survie se diriger à peine vitesse vers la gueule du Mégalodon.

La gueule de la créature s'ouvrit en grand. Malgré elle, Sarah laissa échapper un cri et tira la manette à elle. Le combustible s'enflama, transformant la capsule de survie en fusée qui partit comme un éclair dans le gouffre noir: la bouche ouverte du Mégalodon. Sarah dirigea la capsule au centre de la créature qui formaient des voûtes presque gothiques. Elle glissa le long de la langue de l'animal et dans les profondeurs de l'oesophage.
La capsule, dans sa descente infernale, déchira des parois, arrachant et broyant quantité de tissu. Par peur de s'écraser, Sarah ramena le levier et éteignit le réacteur. Dans un bruit sourd, la capsule de survie tomba dans une sombre masse de chair. Sarah soupira en réalisant qu'elle était toujours en vie. Elle venait de franchir les portes de l'enfer.

Le Mégalodon remonta si violament que son aileron en forme de faux effleura la surface. L'espace d'un instant, les vingts-deux tonnes restèrent suspendue dans l'air. Puis le requin replongea dans son royaume sous-marin. Il avait ouvert ses machoires pour essayer d'éteindre le feu qui lui dévorait les entrailles.
Bien que les batteries de la capsule fussent à plat, le générateur auxiliaire de secours pouvait alimenter les systèmes de survie pendant encore au moins une heure. Sarah alluma le projecteur. La capsule de survie s'était logé dans la partie supérieure de l'estomac. Les vitres étaient couvertes de buée, à cause de la vapeur dégagée par l'eau de mer bouillante. Des objets brunâtres tournoyaient entre les parois roses et étroites.
Sarah regarda le thermomêtre: il faisait plus de trente et un degrès à l'extérieur de la capsule.
«C'est délirant» dit-elle à voix haute. Puis elle se concentra en chassant de son esprit tout ce qui était à même de la faire paniquer. De gros restes de baleine heurtèrent son pare brise. Sarah eut la nausée, mais ne put s'empêcher de regarder. Elle remarqua aussi le cadavre d'un marsouin. De petites boulettes de chair de cétacé partiellement digérées croisaient également son champ de vision. Et puis, elle aperçut quelque chose qui avait l'air différent: des bouts de coraux ainsi qu'un étrange objet. Elle le reconnut immédiatement: le glyphe de Thétis que le monstre avait avalé.
Les parois étroites se refermaient sur elle. Une vague de terreur l'envahit, elle tremblait de tout son corps. Le spectacle dépassait de loin ce qu'un être humain pouvait endurer. La capsule fit une embardée sur le côté, renversant au passage les restes d'une baleine, et glissa dans la partie inférieure de l'estomac. La créature se tordait, souffrait et devenait une véritable furie.

Le Mégalodon plongea au fond de l'eau, les entrailles torturées par les flammes de la fusée. Il essaya de régurgiter l'objet avalé mais ne recracha que de la muqueuse ensanglantée. Sarah grelottait. Elle n'arrivait pas à se calmer. Quel carnage... Pour la première fois de sa vie, elle découvrait le vrai sens des mots peur et claustrophobie.
«Concentre-toi, bon sang! Essaie de réfléchir! Voyons, où te trouves-tu?» essaya-t-elle de se rassurer en s'efforçant de se rémémorer le diagramme anatomique du Grand Requin blanc. Ce n'était pas trop difficile: elle le connaisait grâce à son année d'étude passée au laboratoire océanographique San Diego. Elle était certaine d'une chose, sa capsule avait traversé l'oesophage. Elle devait donc se trouver quelque part dans l'estomac. Et maintenant que faire? Récupérer le glyphe? Tuer le Mégalodon de l'intérieur?
Sarah constata que penser à des choses concrètes lui faisait du bien. Sa respiration se régularisait...
«Tu vas bien, se dit-elle, tu vas bien!» Son coeur résonna de plus en plus fort à ses oreilles. Elle ne s'entandait même plus parler. Et puis elle comprit...
«Ce n'est pas moi!» s'exclama-t-elle. En un éclair, elle visualisa de nouveau le schéma anatomique du requin.... l'oesaophage, l'estomac...
«C'est son coeur que j'entends!»
Bien sûr, les deux ventricules devaient se trouver derrière les branchies, un peu avant le foie. Il était exactement sous l'estomac. Un grand calme envahit alors Sarah, car un plan se dessinait dans son esprit. Elle eut une lueur d'espoir.
Que faire? Comment trancher les muscles épais ou les organes du Mégalodon? Elle posa alors ses doigts sur la dague que Sacre lui avait donné et la glissa dans la ceinture de sa combinaison. Puis elle vérifia que les deux petites torches sur son casque fonctionnées bien. Elle était prête.


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Sarah déverrouilla alors la trappe d'accès situé dans la queue de la capsule. La porte circulaire s'ouvrit, et le caoutchouc produisit un bruit de succion. Un liquide épais, chaud, poisseux, se répandit dans la capsule. Sarah, qui respirait grâce au casque de sa combinaison, passa la tête par la porte. Les deux petites lampes diffusaient une lumière douce. L'estomac du Mégalodon était une cavité étroite, confinée, pleine de muscles lisses constamment en mouvement et de déchets nageant dans une atmosphère caustique, humide de sécrétions et d'eau de mer. L'organe digestif réagissait à sa présence, et Sarah entendait toutes sortes de gargouillis, de râles et de grognemements. En fond sonore, résonnait toujours le battement sourd du coeur de l'animal...
L'estomac, simple poche de muscles, n'avait pas vraiment de haut ni de bas distincts. Sarah sortit la jambe droite avec précaution et sentit la capsule de survie osciller. Il toucha la paroi stomacale du bout du pied. Elle avait l'impression de marcher sur du mastic fondu. Le liquide épais qui suintait des muqueuses dégoulina sur ses pieds et l'ébouillanta. Malgré tout, prenant son courage à deux mains, Sarah sortit l'autre jambe. L'estomac se gonfla soudainement et se retourna. Les jambes de Sarah se dérobèrent et elle se retrouva projeté sur le dos. Elle sentit l'acide chaud des parois attaquer sa combinaison. Elle eut un haut le coeur, mais se remit à quatres pattes, puis rampa sur la surface musculaire épaisse et accidentée en s'aidant des mains et des genoux. Ses mains commencèrent à brûler.
«Reste calme, repsire lentement ma fille!» se rassura-t-elle. Restait à trouver comment atteindre le coeur du requin.

Soudain, elle sentit que la pression changeait. Elle s'accrocha à la queue de la capsule de survie. Trop tard! Elle se retrouva projeté quelques mètres en arrière, alors que la capsule tombait sur elle. Quelque chose bougea pendant qu'elle esquivait. Elle braqua les rayons de ses torches et découvrit un objet luisant dans l'obscurité... Le glyphe de Thétis. Elle l'attrapa et le coinca entre ses hanches et la ceinture de la combinaison.
Sarah fut surprise par un autre déplacement du Mégalodon, qui se dressait apparemment à la verticale. Sarah s'aggripa tant bien que mal et colla son oreille à la masse de chair boursouflée sous ses pieds. Les battements du coeur étaient de plus en plus forts... Sans hésiter, elle planta la dague de Sacre dans la muqueuse, tout en prenant appui sur le flanc de la capsule. Le tranchant rebondit sur la surface charnue et lui échappa des mains. Frénétiquement, elle se baissa, la chercha à tatons et finit par la retrouver. Elle était de nouveau alarmée.
«Je vais mourir ici.» se dit-elle, perdant un peu de son assurance.
Mais, résolu, elle saisit sa dague en silex à deux mains et appuya de toutes ses forces. Elle sciait péniblement les fibres des tissus avec le tranchant de l'arme. Il lui fallait quelques minutes pour parvenir à les déchirer. C'était un travail de titant, comme de vouloir couper de la viande crue avec un couteau à beurre.
Elle avait opéré une incision d'un mètre vingt dans la paroi et continuait de frotter la dague contre le muscle élastique. Le Mégalodon ne savait pas ce qui se passait dans son estomac. Il avait une envie irrépressile de vomir pour calmer sa souffrance.

Sarah était littéralement épuisé. Des pans entiers de graisse de baleine et autre déchets s'amoncelaient derrière elle. Mais elle ne voulait pas se retourner, par peur de ce qu'elle pouvait découvrir.
La dague vint à bout de la paroi, si bien que Sarah put passer la tête dans l'orifice et s'engouffrer dans une sorte de caverne bien différente de l'endoirt qu'elle venait de quitter. La cavité du coeur était charnue, très exiguë, ne mesurait pas plus de trente centimètres de haut et l'on ne pouvait y pénétrer qu'en rampant. Sarah s'y faufila à plat ventre. Elle s'adossa un instant à une couche de muscles et se détendit. Quelques secondes plus tard, elle repartait, déterminé, la dague à la main. Le bruit de basse la guidait. L'endroit s'élargissait et elle vit les parois de chair vibrer sous les battements sourds de plus en plus puissants. Les faisceaux des lampes éclairèrent une grosse masse ronde, d'un diamètre d'un mètre cinquante environ, suspendue à un enchevètrement de veines et d'artères. Elle était parvenu au terme de son voyage!
Sarah tailladait l'aorte, sans rencontrer de grande résistance. Le sang giclait abondamment. La cavité s'obscurcit et Sarah se mit à trembler. Les parois allaient l'étouffer. Elle dérapait sur ce terrain glissant. Sans hésiter, elle enroula l'écheveau de veines autour de son bras gauche, appuya de toutes ses forces son pied contre les parois, s'arc-bouta et tira avec violence sur le muscle battant. De sa main droite, elle empoigna la dague et trancha les veines, d'un seul coup...

Sarah, étendu sur le dos dans l'obscurité, baignait dans une mare de sang. Sur sa poitrine reposait le coeur du Mégalodon. On aurait dit une énorme bûche. Sarah tenta de retrouver son calme. Elle saisit le régulateur d'oxygène de son casque se trouvant au niveau de la nuque, et respira une grande goulée d'air, ce qui lui fit tourner la tête. Le bruit de tambour avait cessé, mais la cavité était totalement inondée par le sang. Sarah dégagea l'énorme organe sous lequel elle suffoquait et se mit en quête de la sortie. A quatre pattes, elle avança à l'aveuglette dans des flots de sang et rampa vers l'estomac.
Sarah avait retrouvé le chemin qui menait à l'estomac, mais pas l'entaille. Elle eut un moment d'affolement. Elle plissa les yeux, tentant de discerner quelque chose dans le faisceau faiblisant de la torche. D'un coup sec, elle tapa le haut de son casque, et la lumière augmenta légèrement. Enfin, elle aperçut la fente. Sarah y passa la jambe droite, avança la tête et retomba lourdement de l'autre côté, un peu désorienté. Où donc était la capsule de survie?
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MessageSujet: Re: 1x12 20.000 Lieux sous les Mers   1x12 20.000 Lieux sous les Mers EmptyLun 19 Mar - 15:02

Elle se mit à quattre pattes. Les sucs gastriques achevèrent de lui brûler les mains et les pieds. Les lampes du casque étaient maintenant hors d'usage. Elle n'y avait pas trop prêté attention car elle avait pensé s'éclairer grâce au projecteur de la capsule. Mais la capsule s'était volatilisé! Pourvu qu'elle ne soit pas tombé dans les intestins! La cavité stomacale était maintenant quasiment à la verticale, et ses parois si poisseuses que Sarah perdit l'équilibre. Elle bascula dans une masse de déchets glaireux et informes. Sa tête heurta quelque chose de dur... C'était la queue de la capsule de survie. Le nez de l'engin avait glissé jusqu'à l'entrée des intestins, mais l'arrière de l'appareil, trops large, avait heureusement stoppé le mouvement.
Sarah saisit l'extrémitié métallique de l'appareil qui dépassait, se pencha du mieux qu'elle put et tira. La capsule vacilla. Encore un effort! En nage, elle raffermit sa prise et tira de nouveau. Elle y était presque... L'avant de l'engin se dégagea enfin de l'orifice grâce à une secousse, ultime hoquet du monstre vaincu, entraînant des centaines de litres de nourrriture partiellement digérée. Le phare de la capsule de survie illumina les parois roses de l'organe digestif. La lumière était aussi bizarre qu'inquiétante. Plus rien ne bougeait. Les convulsions avaient cessé. Les déjections expulsées des intestins s'entassaient de part et d'autre de l'appareil. Sarah leva les yeux. Elle lui fallait sortir de là! Elle entrevoyait l'entrée de l'oesophage à moins de six mètres de l'endroit où elle se trouvait. C'était la seule issue possible. Alors, elle s'agenouilla, passa les bras autour du nez de l'engin et, en se redrassant, traîna la capsule de survie le long de la muqueuse.
Puis, elle attrapa l'arrière de la capsule, pratiquement enseveli sous deux mètres de graisse de baleine et de rebuts. Il fallait d'abord le libérer. Sans hésiter, elle plongea les bras dans les déchets nauséabonds et creusa... Elle finit par distinguer la trappe d'accès de la capsule. Confiant, elle l'ouvrit et se faufila à l'intérieur du compartiment sec. Grâce à sa combinaison luisante de graisse, elle n'eut aucun mal à rejoindre l'étroite cabine. Une fois installé devant les commandes, elle braqua le projecteur sur l'entrée de l'oesophage. Le plus dur restait à faire. Elle a vait tout juste assez de carburant pour sortir. Elle n'aurait pas droit à une seconde chance.

Sarah se pencha sur la gauche, ce qui déplaça légèrement la capsule. Puis elle la positionna du mieux qu'elle put en face de la cible. Le compte à rebours avait commencé. Elle sangla son harnais, attrapa le levier, le pivota et le tira à elle. Une immense explosion se fit entendre.... Et la capsule de survie s'arracha de la cavité et longea la paroi de l'estomac, telle une fusée sur une rampe de lacement. Sarah visa soigneusement l'ouverture de l'oesophage. Gagné! En un éclair, le nez de la capsule de survie quitta l'orgnae digestif et s'enfonça dans l'immense tunnel qui menait à la liberté.
Vrouuuum! Hélas! La capsule de survie s'immobilisa, baignant dans l'eau et le sang. Au loin, Sarah apercevait l'orifice caverneux qui menait à la gueule de la créature. Mais cela lui était d'aucun secours. La capsule de survie demeurait bloqué quelque part à l'entrée de l'oesophage. Sa queue, trop large pour le conduit, avait dû s'accrocher à la paroi supérieure. Sarah sentait son appareil retomber vers l'estomac... Désespéré, elle poussa les gaz à fond. Peine perdue! C'était la panne sèche!
Au bord de la panique, Sarah donna un grand coup de poing sur le tableau de bord, heurtant de la main une boîte métallique. Comment n'y avait-elle pas songé plus tôt? Fébrilement, elle déchira la trousse de protection, saisit d'un geste brusque le petit levier et l'actionna. Avec une détonation qui ébranla tout l'appareil, la capsule se détacha de la queue. Le cylindre transparent fusa à travers la cavité inondée, grimpant de plus en plus haut vers la lumière... Le tunnel s'élargit. Le projecteur illumina au passage l'oesophage du Mégalodon, des arches sombres, voutées comme celles d'une cathédrale. Le spectacle était saisissant!
La capsule filait toujours à vive allure dans la longue cheminée ensanglantée. Sarah, tendu à l'extrême, continuait d'accélérer. Elle discerna, à quelques petits mètres d'elle, la gueule ouverte du requin mort. Elle serra les poings. Plus qu'un obstacle à franchir pour échapper à sa prison de vingt-deux tonnes. C'était sans doute le pire! Les machoires inertes du Mégalodon étaient hérissées de rangées de dents mortelles. L'obscurité était preque totale. Seuls les rais de lumière de la nacelle éclairaient les alentours. Les portes de l'enfer étaient ouvertes, certes, mais pas complètement... parviendrait-elle à passer? Sarah n'en savait rien. Elle ferma les yeux et s'arrima fermement à son harnais tandis qu'elle rebondissait sur les myriades de dents ancestrales.
Craaac! La capsule s'abattit contre la dentition du monstre. Sarah grimaça. Le pire était arrivé! Le vaisseau s'était immobilisé en travers contre les dents aiguisées, au seuil de la mâchoire à demi fermée. Aucune fuite n'était possible désormais. Impuissante, Sarah resta là, sans bouger, considérant les grilles osseuses avec désespoir. Et le Mégalodon entrainait toujours sa malheureuse passagère au plus profond des abysses...

La lueur blanche irradiait les profondeurs de l'océan, tandis que le puissant requin rejoignait son tombeau sous-marin. A bord de la capsule, Sarah voyait la lumière du jour s'évanouir peu à peu. Rien ni personne ne pouvait freiner la descente. Un bref coup d'oeil sur le profondimètre lui indiqua qu'elle était à trois cent-mètres.... Le Mégalodon coulait de plus en plus vite. Il fallait réagir vite. Sans trops y croire, Sarah se cogna contre le pare-brise de toutes ses forces, espérant imprimer un mouvement à la capsule. Elle retomba épuisé, contre le siège.... Hourra! La capsule avait progressé de quinze petits centimètres à l'extérieur de la gueule. Galvanisé, Sarah recommença... Une fois, puis deux... Cela avait l'air de fonctionner! A chaque secousse, la cabine se rapprochait de la sortie. Sarah reprit confiance. Plus que quelques pas avant la liberté.
Enfin, dans un craquement terriblement sonore, la capsule se dégagea de l'étreinte mortelle et fila vers la surface à la façon d'un ballon gonflé à l'hélium.Si tout allait bien, elle allait remonter à un rythme de dix huit mètres par minuite. Sarah commençait à se détendre et posa un regard sur le glyphe de Thétis accroché à sa ceinture: tout ça pour cet objet. C'est alors qu'elle remarqua des fissures sur les parois du cockpit. Un mince filet d'eau filtrait de la coque endommagée...

La capsule continuait son ascension, mais les parois de l'engin étaient sur le point de se fendre. A cent soixante-diux mètres, ce qui n'était au départ qu'une minuscule fêlure s'agrandit soudain dangereusement...
Sarah, épuisé tant physiquement que mentalement, surveillait la fente, qui mesurait quinze centimètre. Elle ne pouvait absolument rien faire. La fissure courait tout le long du cylindre. Le visage satanique du Mégalodon n'était plus qu'un lointain souvenir. Elle avait échappé à une mort atroce. Mais cette fois-ci, pour survivre, elle ne pouvait compter que sur un miracle.
Pression. Oxygène. Pression et oxygène. Cette formule, véritable mantra des plongeurs qu'elle avait apprit pendant ses deux ans d'étude à l'institut d'océanographie de San Diego, lui revint brutalement à l'esprit. Pour une raison inconnue, la capsule remontait trop vite. Sarah s'affola... Elle savait que des bulles d'azote se formaient dans son sang. Cent mètres.
Rien ne pouvait arrêter la capsule de survie. Elle filait à la surface comme un missile de verre. Le plastique s'était fendillé à plusieurs endroits. Un léger filet d'eau transpirait dans la cabine. En voyant la fissure gagner du terrain, Sarah comprit que la capsule n'en avait plus pour longtemps. Quoi qu'elle tente, elle ne résisterait pas à la pression.
Craaac! Elle jetta un coup d'oeil inquiet sur la paroi. Elle se craquelait toujours... Plus que quatre-vingt mètres... Sarah lutta pour conserver son sang-froid. Les questions se bousculaient dans sa tête. Qu'elle profondeur ai-je déjà atteinte? Jusqu'à combien de mètres puis-je tenire? Vingts? Seize? Mais à quarante mètre la capsule vibra.
L'eau glacée du l'océan de Belize remplissait maintenant la capsule de survie, ralentissant nettement son ascension. Sarah frissona dans sa combinaison de plongée. Elle n'osait plus esquisser le moindre geste. Le profondimètree indiquait vingt mètres. La fissure courait tout autour du vaisseau et les vibrations résonnaient dans la capsule. Comme si cela n'était pas assez, la pression extérieure agrandissait la brèche encore un peu plus...
Elle espérait apercevoir la lumière du jour. Toujours rien! Si la capsule de survie craquait à cette profondeur, elle ne survivrait pas. Cela ne faisait aucun doute. Elle n'allait pas attendre la mort sans rien tenter. Elle devait essayer au moins..
«N'oublie pas ma grande, accomplis des mouvements lents, ne panique pas. Essaie de te détendre par tous les moyens. Ne ferme pas les yeux. Ne t'endors pas ou tu ne te reveilleras plus jamais.»

A dix mètres, la capsule de secours craqua et s'ouvrit en deux, ce qui libéra des torrents d'eau sur Sarah, littéralement écrasé par la pression. Elle saignait du nez et avait mal partout. Elle tenta péniblement de sortir par la trappe de la capsule. La visière de son casque se fissura... Il n'y avait pas de tmeps à perdre! Elle battit des pieds.
Quatres mètres. Son corps était maintenant en plomb et elle n'arrivait plus à controler ses mouvements. Ses bras ne répondaient plus...
A trois mètres, Sarah manqua d'air. La bonhome d'oxygène de son casque était vide. Sarah ferma les yeux et se surprit à prier.
A deux mètres, elle perdit connaissance. Sarah ne sentait plus rien, ni douleur ni peur. Elle se sentait mourir petit à petit.

Chjara Shiva l'attrapa par le poignet au moment où elle allait couler de nouveau dans les abysses. L'Artélienne batti énergiquement des pieds, chassant l'eau de sa main gauche. Elle nagea avec énergie.
A la surface, Chjara s'efforça de maintenir la tête de Sarah hors de l'eau. Elle était bleue et ne respirait plus. La jeune femme ramena Chjara vers l'Odysséum. Le vaisseau était posé sur la surface de l'océan, se balançant doucement sur les vaguellettes. Sacre Tillus et Quentin Corrigan étaient au bord de la trappe d'accès au vaisseau. Ils les attendaient et se dépêchèrent de les repêcher.
Puis chacun s'activa autour de Sarah. Tandis que Sacre tentait de la réanimer, Quentin l'enveloppait dans une couverture et prenant son pouls. Il battait encore, mais si faiblement...
Sarah commença à recracher l'eau de mer qu'elle avait avalé. Sacre la retourna pour l'aider à se vider les poumons et à vomir. Chjara se pencha vers elle et lui massa la nuque. Epuisé, Sarah la regarda, plissant les yeux sous les rayons dorés du soleil.
«Essaie de ne pas bouger» lui dit-elle en lui carressant les cheveux. Sarah lui offrit un faible sourire, et malgré la douleur, elle détacha le glyphe de Thétis de sa ceinture et le tendit à Chjara. La douleur de Sarah atteignait les limites de ce qu'elle pouvait endurer. Elle était sur le point de perdre conscience. Pour la dernière fois, elle lutta. Une nouvelle vague de douleur lui fit perdre connaissance, tandis que Quentin et Sacre l'installaient dans le laboratoire médical de l'Odysséum.

Trois heures plustard, Sarah Harding se réveilla, ouvrant avec difficulté ses paupières. Elle fut d'abord éblouit par la vive lumière qui régnait dans le laboratoire médicale de l'Odysséum. Elle essaya de se relever mais n'en trouva pas les forces.
«Du calme. Reste allongée» lui fit Chjara ne lui carressant le front.
«Le glyphe?» demanda alors la jeune femme.
«Tu nous l'as rapporté.» lui répondit simplement l'Artélienne avec un sourire.


FIN DE L'EPISODE
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